Subaru Legacy GT 2003
Cam Québec - Si vous voyez encore les Subaru comme des voitures ternes et peu performantes, vous vous trompez. Vous avez encore l’image des Subaru Loyale du début des années 90 et depuis ce temps, la compagnie japonaise a mis beaucoup d’efforts afin de redorer son blason et de construire des automobiles dignes du pays du soleil levant. Les Japonais savent bien comment faire taire leurs dénigreurs, c'est là une de leur qualité méconnue.
Sobre mais pas terne
Comme partout ailleurs, la première chose que l’on remarque, c’est ce que l’on voit. Depuis quelques années, Subaru a, de beaucoup, amélioré le look de ses modèles. Au niveau de la gamme, la Outback a donnée à la Legacy une saveur de chasseur de brousse, la Impreza s’est musclée et clonée pour maintenant accueillir la WRX. Dans la dernière décennie, Subaru a aussi introduit le Forester, croisement entre un VUS et une voiture ainsi que le Baja qui lui est un croisement entre une voiture et une camionnette. Cette année encore, de petits changements ont été apportés à la Legacy (pare-chocs et calandre) afin d’améliorer son aspect visuel, son look, qui d’après moi, n’est pas mal du tout. Afin d’en ajouter un peu plus, la quatre portes possède en équipement de série, un toit ouvrant électrique, des phares antibrouillards ainsi que des jantes en aluminium de 16 pouces. Une allure sport pour une voiture de pépère, pas pire quand même !
Elles devraient par contre, selon moi, subir une cure de rajeunissement, car la plupart des autres manufacturiers offrent des habitacles plus attirants. Les tissus et matériaux utilisés font en sorte que ça n’ait pas l’air bon marché. La finition et l’espace intérieur sont bons et les rangements sont en nombre suffisant à l’avant mais totalement absent à l’arrière sauf pour un porte gobelets. Quelques options intéressantes : les miroirs chauffants, indicateur de température extérieur et un dégivreur pour les essuie-glaces…très pratique lors de nos hivers québécois.
Le confort intérieur est respectable mais on aurait pu faire mieux. Les sièges dans l’ensemble offrent un bon niveau de confort. Les sièges avant offre un bon support lombaire, et celui-ci est ajustable du côté du conducteur. Par contre, j’ai trouvé que le soutien au niveau du fessier souffrait d’une trop grande fermeté donc aurait, peut-être, tendance à vous agacer lors de longs trajets. Tous les occupants, même ceux à l’arrière, ont droit à un appui-tête, qui est un plus en matière de sécurité.
Parlant de sécurité, les coussins gonflables frontaux sont de série. Au niveau du rouage d’entraînement, les freins antiblocage font également partie de l’équipement de base ainsi que le très bon système de traction intégrale qui caractérise la marque depuis plusieurs années déjà.
Comportement routier et motorisation
Bien que le chiffre de puissance et le couple de 166 lb-pi @ 4000 sont bons, on ne peut pas dire que c’est une bombe. Les 1500 kilogrammes sont déplacés en 9,3 secondes sur le 0-100 km/h et j’ai obtenu un temps de 17,5 secondes sur le 0-400 mètres.
Malgré le léger manque de puissance le moteur s’acquitte, en général, très bien des différentes tâches qui lui sont confiées. En plus, de par sa configuration, il donne à la voiture un centre de gravité bas ce qui atténue le roulis et tangage que la suspension molle procure.
Le ratio poids/puissance est bon et comparable à bien d’autres modèles dans le segment des intermédiaires, mais la 2.5 GT est plus lente d’environ 1 seconde sur le test du 0-100 km/h. Un calibrage pourrait également diminuer les tours/min. du moteur à vitesse d’autoroute qui sont quelques peu supérieurs à la moyenne. Malgré cela, la consommation d’essence est quand même dans la moyenne. J’ai obtenu un raisonnable 8,2 litres/100 km lors d’une balade d’environ 500 kilomètres sur voies rapides.
Lorsque le bras de transmission est enclenché dans ce mode, les vitesses ne sont pas changées automatiquement par l’ordinateur lorsque vous atteignez la limite. Elle attend patiemment que le conducteur change le rapport par lui-même et ainsi mettre fin à la torture. Sans être une option, la nouvelle technologie de répartition du couple (VTD) est présente depuis cette année dans la 2.5 GT.
Les gens de chez Subaru ont compris depuis longtemps quels sont les ingrédients d’une recette gagnante. Ils ont tout d’abord peaufiné leur système de traction intégrale pour en faire l’un des plus efficace disponible sur le marché, ont créé des zones de déformation pour la protection des occupants et une multitude de technologie mettant l’accent sur la sécurité afin d’offrir une voiture des plus sécuritaire. Cette Subaru Legacy 2.5 GT est représentative de la marque nippone, c’est-à-dire qu’elle intègre des éléments comme le moteur boxer et des suspensions sophistiquées à grand débattement qui équipent plusieurs modèles, et ce, depuis un bon nombre d’années.
Sobre mais pas terne
Comme partout ailleurs, la première chose que l’on remarque, c’est ce que l’on voit. Depuis quelques années, Subaru a, de beaucoup, amélioré le look de ses modèles. Au niveau de la gamme, la Outback a donnée à la Legacy une saveur de chasseur de brousse, la Impreza s’est musclée et clonée pour maintenant accueillir la WRX. Dans la dernière décennie, Subaru a aussi introduit le Forester, croisement entre un VUS et une voiture ainsi que le Baja qui lui est un croisement entre une voiture et une camionnette. Cette année encore, de petits changements ont été apportés à la Legacy (pare-chocs et calandre) afin d’améliorer son aspect visuel, son look, qui d’après moi, n’est pas mal du tout. Afin d’en ajouter un peu plus, la quatre portes possède en équipement de série, un toit ouvrant électrique, des phares antibrouillards ainsi que des jantes en aluminium de 16 pouces. Une allure sport pour une voiture de pépère, pas pire quand même !
Elles devraient par contre, selon moi, subir une cure de rajeunissement, car la plupart des autres manufacturiers offrent des habitacles plus attirants. Les tissus et matériaux utilisés font en sorte que ça n’ait pas l’air bon marché. La finition et l’espace intérieur sont bons et les rangements sont en nombre suffisant à l’avant mais totalement absent à l’arrière sauf pour un porte gobelets. Quelques options intéressantes : les miroirs chauffants, indicateur de température extérieur et un dégivreur pour les essuie-glaces…très pratique lors de nos hivers québécois.
Le confort intérieur est respectable mais on aurait pu faire mieux. Les sièges dans l’ensemble offrent un bon niveau de confort. Les sièges avant offre un bon support lombaire, et celui-ci est ajustable du côté du conducteur. Par contre, j’ai trouvé que le soutien au niveau du fessier souffrait d’une trop grande fermeté donc aurait, peut-être, tendance à vous agacer lors de longs trajets. Tous les occupants, même ceux à l’arrière, ont droit à un appui-tête, qui est un plus en matière de sécurité.
Parlant de sécurité, les coussins gonflables frontaux sont de série. Au niveau du rouage d’entraînement, les freins antiblocage font également partie de l’équipement de base ainsi que le très bon système de traction intégrale qui caractérise la marque depuis plusieurs années déjà.
Comportement routier et motorisation
Bien que le chiffre de puissance et le couple de 166 lb-pi @ 4000 sont bons, on ne peut pas dire que c’est une bombe. Les 1500 kilogrammes sont déplacés en 9,3 secondes sur le 0-100 km/h et j’ai obtenu un temps de 17,5 secondes sur le 0-400 mètres.
Malgré le léger manque de puissance le moteur s’acquitte, en général, très bien des différentes tâches qui lui sont confiées. En plus, de par sa configuration, il donne à la voiture un centre de gravité bas ce qui atténue le roulis et tangage que la suspension molle procure.
Le ratio poids/puissance est bon et comparable à bien d’autres modèles dans le segment des intermédiaires, mais la 2.5 GT est plus lente d’environ 1 seconde sur le test du 0-100 km/h. Un calibrage pourrait également diminuer les tours/min. du moteur à vitesse d’autoroute qui sont quelques peu supérieurs à la moyenne. Malgré cela, la consommation d’essence est quand même dans la moyenne. J’ai obtenu un raisonnable 8,2 litres/100 km lors d’une balade d’environ 500 kilomètres sur voies rapides.
Lorsque le bras de transmission est enclenché dans ce mode, les vitesses ne sont pas changées automatiquement par l’ordinateur lorsque vous atteignez la limite. Elle attend patiemment que le conducteur change le rapport par lui-même et ainsi mettre fin à la torture. Sans être une option, la nouvelle technologie de répartition du couple (VTD) est présente depuis cette année dans la 2.5 GT.
Les gens de chez Subaru ont compris depuis longtemps quels sont les ingrédients d’une recette gagnante. Ils ont tout d’abord peaufiné leur système de traction intégrale pour en faire l’un des plus efficace disponible sur le marché, ont créé des zones de déformation pour la protection des occupants et une multitude de technologie mettant l’accent sur la sécurité afin d’offrir une voiture des plus sécuritaire. Cette Subaru Legacy 2.5 GT est représentative de la marque nippone, c’est-à-dire qu’elle intègre des éléments comme le moteur boxer et des suspensions sophistiquées à grand débattement qui équipent plusieurs modèles, et ce, depuis un bon nombre d’années.
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