Guerre civile en Irak
Cam Québec - L'ambassadeur américain en Irak, Ryan Crocker, et son homologue iranien, Hassan Kazemi-Qomi, se sont entretenus pendant quatre heures, lundi, dans les bureaux du premier ministre irakien à Bagdad, afin de discuter de la guerre civile qui déchire ce pays.
En fait, Washington et Téhéran ont convenu d'emblée de ne pas aborder le controversé programme nucléaire iranien, pour se limiter aux seules questions concernant la sécurité en Irak.
Et sur la question irakienne, les diplomates des deux pays se sont contentés de réitérer les positions respectives de leur gouvernement. L'ambassadeur Crocker a précisé, lors d'un point de presse au terme de la rencontre, que les deux pays s'entendent pour stabiliser l'Irak, mais les discussions sont demeurées générales.
Washington estime que l'Iran fournit aux insurgés chiites des armes puissantes utilisées contre ses troupes dans le sud de l'Irak, tandis que Téhéran, pour sa part, impute le désordre irakien à la présence dans la région de militaires américains.
La possibilité de nouvelles rencontres entre les diplomates iraniens et américains n'a pas été exclue, mais le ministère iranien des Affaires étrangères exige pour ce faire que Washington admette l'échec de sa politique au Moyen-Orient.
En fait, Washington et Téhéran ont convenu d'emblée de ne pas aborder le controversé programme nucléaire iranien, pour se limiter aux seules questions concernant la sécurité en Irak.
Et sur la question irakienne, les diplomates des deux pays se sont contentés de réitérer les positions respectives de leur gouvernement. L'ambassadeur Crocker a précisé, lors d'un point de presse au terme de la rencontre, que les deux pays s'entendent pour stabiliser l'Irak, mais les discussions sont demeurées générales.
Washington estime que l'Iran fournit aux insurgés chiites des armes puissantes utilisées contre ses troupes dans le sud de l'Irak, tandis que Téhéran, pour sa part, impute le désordre irakien à la présence dans la région de militaires américains.
La possibilité de nouvelles rencontres entre les diplomates iraniens et américains n'a pas été exclue, mais le ministère iranien des Affaires étrangères exige pour ce faire que Washington admette l'échec de sa politique au Moyen-Orient.
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