Lettres: Débâcle printanière
Le lundi 26 mars 2007, la débâcle printanière, sur la scène politique, a été, comme c'est souvent le cas avec les débâcles, marquée au sceau de l'étonnement et de l'inattendu.
Depuis ce 26 mars fatidique, nous y allons tous de notre tentative d'analyse pour saisir ce qui vient de se passer. Certains voient un vote de protestation. Certains autres voient un vent de conservatisme qui soufflerait sur une partie de la population québécoise. D'autres voient la confirmation d'un clivage fondamental entre les centres urbains et certaines régions. Et j'oublie de nombreuses théories.
Quant à moi, je pense que nous devrons laisser du temps au temps avant de tirer des conclusions trop définitives. Mais je me permets de penser que le débat droite-gauche (lucides-solidaires) est en train de produire des résultats heureux.
En effet, la seule division de la société québécoise n'est pas celle entre le fédéralisme et le souverainisme. Sur le plan des visions sociales, il y a aussi des divisions et des perspectives variables. Et le scrutin du 26 mars nous permet d'en prendre acte. Il n'y a pas, au Québec, de pensée unique de gauche, de droite ou de centre. Et c'est très bien ainsi!
Depuis ce 26 mars fatidique, nous y allons tous de notre tentative d'analyse pour saisir ce qui vient de se passer. Certains voient un vote de protestation. Certains autres voient un vent de conservatisme qui soufflerait sur une partie de la population québécoise. D'autres voient la confirmation d'un clivage fondamental entre les centres urbains et certaines régions. Et j'oublie de nombreuses théories.
Quant à moi, je pense que nous devrons laisser du temps au temps avant de tirer des conclusions trop définitives. Mais je me permets de penser que le débat droite-gauche (lucides-solidaires) est en train de produire des résultats heureux.
En effet, la seule division de la société québécoise n'est pas celle entre le fédéralisme et le souverainisme. Sur le plan des visions sociales, il y a aussi des divisions et des perspectives variables. Et le scrutin du 26 mars nous permet d'en prendre acte. Il n'y a pas, au Québec, de pensée unique de gauche, de droite ou de centre. Et c'est très bien ainsi!
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