Saab 9-3 Tid 150
Saab 9-3 Tid 150 - Aujourd’hui, le marché européen s’est fortement diésélisé et face à une forte demande de sa clientèle, Saab s’est tout d’abord adjoint les services d’Opel pour équiper sa berline 9-3 en mazout, puis cède finalement sous le charme d’un bloc d’origine Fiat. C’est sous une pluie diluvienne, que nous avons pu essayer la Saab 9-3 TiD 150, sur les routes allemandes.
La nouvelle berline 9-3 présente une ligne somme toute moins innovante que les anciennes 900 (de 1979 à 1994), mais éclipse l’avant dernière génération (de 1994 à 2002). Très typée « sport », même dans ses définitions d’entrée de gamme, elle bénéficie d’une très bonne qualité de finition extérieure.
La planche de bord, très actuelle et parfaitement ergonomique, ne peut faire oublier certains détails de finition. En effet, les buses de ventilation et les plastiques entourant la console centrale nous paraissent un peu légers pour une voiture de ce standing. Articulée autour des niveaux de finition Linear, Arc et Vector, la Saab 9-3 peut désormais recevoir en option le système AVR de reconnaissance vocale avancé, qui permet de piloter par la voix : la radio, le CD, le téléphone, le GPS…
Le groupe GM l’a ensuite retenu pour Opel (cf. notre essai Astra 1.9 Cdti) et aujourd’hui Saab. Un petit tour de clé, pas de préchauffage et le 4 cylindres laisse échapper une sonorité très « diesel », qui semblait être mieux contenue à bord de l’Astra. Monté à température, le 1.9 TiD reste toujours plus bruyant que la moyenne, en particulier à l’accélération. D’une cylindrée exacte de 1910 cm³, il développe 150 ch et 320 Nm de couple entre 2000 et 2750 tr/min. Si Saab annonce un temps de 9,5 s pour passer de 0-100 km/h, nous avons été un peu déçus par les performances au cours de l’essai. Est ce dû au poids de la voiture (1640 kg), ou au manque de rodage ?…le fait est que les progrès par rapport au 2.2 TiD paraissent ténus.
Le comportement routier s’avère satisfaisant, avec un confort sauvegardé et une direction précise. En revanche, le train avant a du mal à digérer le couple, en particulier sur chaussée détrempée et heureusement que l’Esp veille.
La nouvelle berline 9-3 présente une ligne somme toute moins innovante que les anciennes 900 (de 1979 à 1994), mais éclipse l’avant dernière génération (de 1994 à 2002). Très typée « sport », même dans ses définitions d’entrée de gamme, elle bénéficie d’une très bonne qualité de finition extérieure.
La planche de bord, très actuelle et parfaitement ergonomique, ne peut faire oublier certains détails de finition. En effet, les buses de ventilation et les plastiques entourant la console centrale nous paraissent un peu légers pour une voiture de ce standing. Articulée autour des niveaux de finition Linear, Arc et Vector, la Saab 9-3 peut désormais recevoir en option le système AVR de reconnaissance vocale avancé, qui permet de piloter par la voix : la radio, le CD, le téléphone, le GPS…
Le groupe GM l’a ensuite retenu pour Opel (cf. notre essai Astra 1.9 Cdti) et aujourd’hui Saab. Un petit tour de clé, pas de préchauffage et le 4 cylindres laisse échapper une sonorité très « diesel », qui semblait être mieux contenue à bord de l’Astra. Monté à température, le 1.9 TiD reste toujours plus bruyant que la moyenne, en particulier à l’accélération. D’une cylindrée exacte de 1910 cm³, il développe 150 ch et 320 Nm de couple entre 2000 et 2750 tr/min. Si Saab annonce un temps de 9,5 s pour passer de 0-100 km/h, nous avons été un peu déçus par les performances au cours de l’essai. Est ce dû au poids de la voiture (1640 kg), ou au manque de rodage ?…le fait est que les progrès par rapport au 2.2 TiD paraissent ténus.
Le comportement routier s’avère satisfaisant, avec un confort sauvegardé et une direction précise. En revanche, le train avant a du mal à digérer le couple, en particulier sur chaussée détrempée et heureusement que l’Esp veille.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire