Mazda 6 Performance 2.3 L
Mazda 6 Performance 2.3 L - Il se vend trois fois plus de Mazda 6 que de l’ancienne familiale de la marque. Il s’agit d’une des plus fortes progressions tout nouveaux modèles confondus. Même si cette performance doit être relativisée au regard des modestes scores de vente de la feue 626, il est symptomatique de l’intérêt suscité par sa remplaçante.Cet engouement tient sans doute à une ligne particulièrement aguicheuse, à la fois effilée et bien campée sur de larges voies, suggérant une réelle sportivité, sans tomber dans une agressivité ostentatoire. Une vraie réussite à notre avis, d’autant que ce caractère affirmé est partagé par les trois carrosseries disponibles, berlines 4 ou 5 portes aux profils très proches et le break, dénommé "FastWagon".
Contrairement à la tendance actuelle, la Mazda 6 ne flirte pas avec les 1,50 m de hauteur. Idem pour sa lointaine cousine Ford Mondeo dont elle ne partage d’ailleurs que très peu d’éléments communs hormis quelques moteurs, contrairement à la Mazda 2 proche de la Fusion. Cela ne l’empêche pas d’offrir une garde au toit suffisante à ses occupants. Malgré la bonne largeur disponible, le dessin de la banquette favorise ses deux passagers latéraux plutôt que celui installé au centre.
Le coffre se montre parmi les plus généreux de la catégorie et le basculement des dossiers (40/60) pour agrandir la capacité de chargement est particulièrement facile. A l’avant, les sièges bien dessinés et fermes "comme il faut" soutiennent parfaitement.
Pour les papas sportifs qui souhaitent encore plus d’agilité, une fois le contrôle électronique de trajectoire déconnecté (DCS équivalent à l’ESP), on peut gaiement rentrer dans un virage sur les freins et l’arrière décroche progressivement et sans jamais prendre un angle scabreux. Que du plaisir. Une fois les roues débraquées, l’excellente motricité permet d’avaler le bout de droit suivant. Jusqu’au prochain freinage. Il est confié à 4 disques, ventilés à l’avant, pourvu d’un répartiteur électronique (EBD), de l’ABS et de l’assistance d’urgence hydraulique (BAS). Il fait preuve de mordant et d’endurance.
Les pneus de 215 en 17 pouces assurent leur part dans l’efficacité des ralentissements et des accélérations, sans trop nuire à la bonne filtration des suspensions, malgré la faible hauteur des flancs (rapport d’aspect 45). Entre les mouvements de caisse bien freinés et un amortissement presque aussi convaincant que les références du segment (Série 3, Laguna, …), le confort de suspension fait réellement partie des qualités du modèle.
Doté d’arbres d’équilibrages, ce 2.3 litres est néanmoins bien éduqué et son arbre à cames d’admission travaille en finesse par l’intermédiaire du calage variable en continu et sur 60°. Les 207 Nm de couple obtenu à 4000 tr/mn ne semble pas extraordinaire. Pourtant, ce moteur est plein à tous les régimes et grimpe de façon assez linéaire jusqu’à 7000 tours.
Des performances qui la situe nettement derrière la Honda Accord mue également par un gros 4 cylindres ( 2.4i fort de 190 ch), mais bien placée dans le peloton des berlines de puissance similaire.
Contrairement à la tendance actuelle, la Mazda 6 ne flirte pas avec les 1,50 m de hauteur. Idem pour sa lointaine cousine Ford Mondeo dont elle ne partage d’ailleurs que très peu d’éléments communs hormis quelques moteurs, contrairement à la Mazda 2 proche de la Fusion. Cela ne l’empêche pas d’offrir une garde au toit suffisante à ses occupants. Malgré la bonne largeur disponible, le dessin de la banquette favorise ses deux passagers latéraux plutôt que celui installé au centre.
Le coffre se montre parmi les plus généreux de la catégorie et le basculement des dossiers (40/60) pour agrandir la capacité de chargement est particulièrement facile. A l’avant, les sièges bien dessinés et fermes "comme il faut" soutiennent parfaitement.
Pour les papas sportifs qui souhaitent encore plus d’agilité, une fois le contrôle électronique de trajectoire déconnecté (DCS équivalent à l’ESP), on peut gaiement rentrer dans un virage sur les freins et l’arrière décroche progressivement et sans jamais prendre un angle scabreux. Que du plaisir. Une fois les roues débraquées, l’excellente motricité permet d’avaler le bout de droit suivant. Jusqu’au prochain freinage. Il est confié à 4 disques, ventilés à l’avant, pourvu d’un répartiteur électronique (EBD), de l’ABS et de l’assistance d’urgence hydraulique (BAS). Il fait preuve de mordant et d’endurance.
Les pneus de 215 en 17 pouces assurent leur part dans l’efficacité des ralentissements et des accélérations, sans trop nuire à la bonne filtration des suspensions, malgré la faible hauteur des flancs (rapport d’aspect 45). Entre les mouvements de caisse bien freinés et un amortissement presque aussi convaincant que les références du segment (Série 3, Laguna, …), le confort de suspension fait réellement partie des qualités du modèle.
Doté d’arbres d’équilibrages, ce 2.3 litres est néanmoins bien éduqué et son arbre à cames d’admission travaille en finesse par l’intermédiaire du calage variable en continu et sur 60°. Les 207 Nm de couple obtenu à 4000 tr/mn ne semble pas extraordinaire. Pourtant, ce moteur est plein à tous les régimes et grimpe de façon assez linéaire jusqu’à 7000 tours.
Des performances qui la situe nettement derrière la Honda Accord mue également par un gros 4 cylindres ( 2.4i fort de 190 ch), mais bien placée dans le peloton des berlines de puissance similaire.
Le break FastWagon peut disposer également de cette mécanique, mais uniquement associé à une boîte automatique à 5 rapports et commande séquentielle. Cette boîte baptisée ActiveMatic n’est malheureusement pas proposée sur la berline.
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