Lexus LS 600h L 2008
Lexus LS 600h L 2008 - Une corne d'abondance de luxe. Trop, d'abord, parce que le véhicule ayant servi de base à cette verte limousine n'est rien de moins que la LS 460, un monstre de luxe, de technologie et de performance.
Trop, aussi, en raison du lieu même où se déroule notre essai : en plein milieu du désert de l'Arizona, sur le site même du poste d'essai de Toyota. Au programme, rien de moins qu'un ovale à trois voies, avec inclinaison dans les virages, cela va de soi. La piste en question a 16 kilomètres de longueur, ce qui fait d'elle la plus longue du genre aux États-Unis.
En accélération, toute cette puissance se transmet aux roues de façon presque anodine, sans même que le conducteur (ou devrait-on dire le chauffeur) ne ressente la moindre hésitation, ou le moindre effet de couple. En accélération vive on ressent quelques vibrations, ce qui est normal lorsque la vitesse est supérieure à 150 km/h.
Ingénieur demandé
Parce qu'elle est munie de toute la gamme des équipements électroniques les plus sophistiqués, on pourrait croire cette Lexus complexe à comprendre. Et pourtant, tous les systèmes se sont avérés transparents, mais ô combien utiles.
Même les freinages d'urgence sont aidés d'un système électronique qui, en utilisant les capteurs d'aide au stationnement, voit littéralement venir les obstacles et freine à la place du conducteur si jamais la collision s'avère inévitable. Aidé de caméras stéréo, le système détecte les voitures et les piétons, mais permet aussi d'intervenir lorsque l'obstacle est beaucoup moins visible.
Difficile de parler de la LS 600h L sans traiter de grand luxe. Les boiseries y sont impeccables, le système audio Mark Levinson comme toujours sans reproche, et la voiture profite aussi du système d'aide au stationnement automatisé, dont la lenteur apparente est compensée par une efficacité redoublée.
Mais elle représente certainement ce qui se fait de mieux en matière de sophistication, de raffinement et de finition. Un tout petit peu plus de plaisir de conduite, et elle serait vraiment parfaite. Presque trop parfaite.
Trop, aussi, en raison du lieu même où se déroule notre essai : en plein milieu du désert de l'Arizona, sur le site même du poste d'essai de Toyota. Au programme, rien de moins qu'un ovale à trois voies, avec inclinaison dans les virages, cela va de soi. La piste en question a 16 kilomètres de longueur, ce qui fait d'elle la plus longue du genre aux États-Unis.
En accélération, toute cette puissance se transmet aux roues de façon presque anodine, sans même que le conducteur (ou devrait-on dire le chauffeur) ne ressente la moindre hésitation, ou le moindre effet de couple. En accélération vive on ressent quelques vibrations, ce qui est normal lorsque la vitesse est supérieure à 150 km/h.
Ingénieur demandé
Parce qu'elle est munie de toute la gamme des équipements électroniques les plus sophistiqués, on pourrait croire cette Lexus complexe à comprendre. Et pourtant, tous les systèmes se sont avérés transparents, mais ô combien utiles.
Même les freinages d'urgence sont aidés d'un système électronique qui, en utilisant les capteurs d'aide au stationnement, voit littéralement venir les obstacles et freine à la place du conducteur si jamais la collision s'avère inévitable. Aidé de caméras stéréo, le système détecte les voitures et les piétons, mais permet aussi d'intervenir lorsque l'obstacle est beaucoup moins visible.
Difficile de parler de la LS 600h L sans traiter de grand luxe. Les boiseries y sont impeccables, le système audio Mark Levinson comme toujours sans reproche, et la voiture profite aussi du système d'aide au stationnement automatisé, dont la lenteur apparente est compensée par une efficacité redoublée.
Mais elle représente certainement ce qui se fait de mieux en matière de sophistication, de raffinement et de finition. Un tout petit peu plus de plaisir de conduite, et elle serait vraiment parfaite. Presque trop parfaite.
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