Dodge Avenger 2008
Dodge Avenger 2008 - Alors, l’Avenger 2008. Même si la voiture est toute neuve, le nom vous est fort possiblement familier. L’Avenger, de 1995 à 2000, était une version coupé de la Chrysler Sebring vendue en modèle deux portes aux États-Unis. En 2008, l’Avenger remplace effectivement la Stratus, jumelle de la Sebring, qui elle aussi a disparu du marché canadien, et non américain, en 2000.
L’habitacle est simple, mais sans attrait particulier. La finition est moyenne et les matériaux sont acceptables. Chose certaine, la planche de bord de l’Avenger est beaucoup moins kitch que celle de la Sebring. L’ergonomie demeure des plus élémentaire et fonctionnelle. Le système de navigation optionnel présente un bel affichage. Les commandes pour le système audio se retrouvent intégrées au menu pour la navigation; c’est possiblement le seul irritant quant à l’utilisation des accessoires dans l’Avenger, mais on s’y habitue rapidement. De série sur toutes les Avenger, le compartiment à boissons Chill Zone peut contenir jusqu'à quatre cannettes de vos boissons gazeuses préférées.
Ceux qui choisissent l’avenue plus économique et qui se procurent une SE auront, sous le capot, le quatre cylindres de 2,4 litres, bon pour 173 chevaux. La prochaine étape s’appelle la SXT. Elle est aussi motivée par le quatre cylindres de série, sauf que le V6 de 2,7 litres de 190 chevaux est offert en option uniquement sur ce modèle. La R/T, plus choyée, comprend un V6 de 3,5 litres qui développe 235 chevaux. Les deux premiers groupes propulseurs sont dotés d’une boîte automatique à quatre rapports tandis que la R/T en utilise une à six rapports. La R/T peut aussi être livrée avec un système de traction intégrale en option.
Sur la route, la suspension sport de série du R/T fait toute une différence. Elle maintient d’abord un bon niveau de confort et réussit du même coup à être sportive. Les amortisseurs permettent un débattement suffisant pour compenser les imperfections de la route tout en contrôlant le roulis et en gardant le caoutchouc en contact avec le bitume. La direction est précise et bien dosée, mieux jugée que celle de la nouvelle Malibu. Le freinage est moyen et approprié pour la voiture. Sur l’autoroute, dès 90 km/h, un bruit de vent et de pneu persistant pénètre dans l’habitacle.
En fin de compte, l’Avenger fait face à une concurrence féroce et sans merci. Elle n’a que quelques petits points en sa faveur et l’un d’eux ne s’applique pas au Canada : la garantie du groupe propulseur à vie. À part son prix et son look, la pauvre Avenger n’est pas vraiment de taille.
L’habitacle est simple, mais sans attrait particulier. La finition est moyenne et les matériaux sont acceptables. Chose certaine, la planche de bord de l’Avenger est beaucoup moins kitch que celle de la Sebring. L’ergonomie demeure des plus élémentaire et fonctionnelle. Le système de navigation optionnel présente un bel affichage. Les commandes pour le système audio se retrouvent intégrées au menu pour la navigation; c’est possiblement le seul irritant quant à l’utilisation des accessoires dans l’Avenger, mais on s’y habitue rapidement. De série sur toutes les Avenger, le compartiment à boissons Chill Zone peut contenir jusqu'à quatre cannettes de vos boissons gazeuses préférées.
Ceux qui choisissent l’avenue plus économique et qui se procurent une SE auront, sous le capot, le quatre cylindres de 2,4 litres, bon pour 173 chevaux. La prochaine étape s’appelle la SXT. Elle est aussi motivée par le quatre cylindres de série, sauf que le V6 de 2,7 litres de 190 chevaux est offert en option uniquement sur ce modèle. La R/T, plus choyée, comprend un V6 de 3,5 litres qui développe 235 chevaux. Les deux premiers groupes propulseurs sont dotés d’une boîte automatique à quatre rapports tandis que la R/T en utilise une à six rapports. La R/T peut aussi être livrée avec un système de traction intégrale en option.
Sur la route, la suspension sport de série du R/T fait toute une différence. Elle maintient d’abord un bon niveau de confort et réussit du même coup à être sportive. Les amortisseurs permettent un débattement suffisant pour compenser les imperfections de la route tout en contrôlant le roulis et en gardant le caoutchouc en contact avec le bitume. La direction est précise et bien dosée, mieux jugée que celle de la nouvelle Malibu. Le freinage est moyen et approprié pour la voiture. Sur l’autoroute, dès 90 km/h, un bruit de vent et de pneu persistant pénètre dans l’habitacle.
En fin de compte, l’Avenger fait face à une concurrence féroce et sans merci. Elle n’a que quelques petits points en sa faveur et l’un d’eux ne s’applique pas au Canada : la garantie du groupe propulseur à vie. À part son prix et son look, la pauvre Avenger n’est pas vraiment de taille.
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