Toyota Tundra Double Cab 2007
Toyota Tundra Double Cab 2007 - Comme les photos le démontrent, la Tundra tirait une remorque surmontée d'une MG Midget 1963, donc une charge d'environ 3 000 livres (1 361 kg) à laquelle on ajoute 1 000 livres (454 kg) de poids additionnel en équipement. Le trajet faisait plus de 1 200 kilomètres, soit de Laval à Loudon, plus précisément au New Hampshire International Speedway de Loudon, où se tiennent, en autres, des courses de la coupe Nextel et de la série Craftsman Truck. Nous avons parcouru des autoroutes et des routes secondaires et traversé des passes dans les Montagnes Blanches du Vermont.
Il faut grimper dans la Tundra à cabine double, mais les nombreuses poignées d'accès rendent le processus acceptable. J'ai trouvé le siège en tissu du conducteur très confortable. Les réglages et le galbe du dossier m'ont permis de faire six heures de route au cours desquelles j'ai effectué deux petites pauses pour faire le plein et pour prendre le lunch, et ce, sans courbatures. Au chapitre du rangement, je classe cette Tundra au-dessus de la moyenne des camionnettes pleine grandeur. Seule la Ford F-150 rivalise avec elle. Le coffre central accueillait mon ordinateur portatif. J'ai pu glisser de nombreux articles dans les divers compartiments. J'ai également profité de la possibilité de relever l'assise des banquettes arrière (divisibles 60/40) pour loger une partie de mon matériel.
La Double Cab est offerte avec une caisse de 6,5 ou 8,1 pieds. Pour nos besoins, la caisse courte était amplement suffisant. Notre camionnette était équipée d'une doublure de caisse et de rails d'arrimage. Comme le démontrent les photos, il m'a fallu arrimer mes coffres pour éviter qu'ils ne se déplacent. Les crochets de série se trouvent au bas et aux quatre coins de la caisse. Il se révèle difficile de les atteindre quand on charge des boîtes. Comme il a plu pendant les quatre jours, j'ai noté que l'eau s'accumulait dans le fond de la caisse.
À vide, l'essieu arrière sautille légèrement. À ce chapitre, Ford et GM maîtrisent mieux cet effet parfois agaçant. Une fois chargée et arrimée à la remorque, la Tundra s'amuse. Le mode remorquage permet des départs en souplesse. Dans les montagnes, j'ai particulièrement aimé le fonctionnement du mode remorquage qui évite au groupe motopropulseur des rétrogradations inutiles. La puissance du 5,7-litres suffit à la tâche. Il n'a jamais montré un signe d'essoufflement. Les accélérations sont puissantes. Les manoeuvres de changement de direction et les virages s'effectuent sans encombre. Le freinage est à la hauteur des besoins. Ma vitesse de croisière a varié parce que je suivais le motorisé de mon collègue qui, lui, avec cette masse énorme, était affecté par les vents assez violents sur les routes montagneuses.
Les conditions d'essai m'ont permis d'apprécier les qualités mécaniques de cette nouvelle Tundra. J'ai particulièrement apprécié son confort de roulement à pleine charge et sa capacité de charge et de rangement.
Il faut grimper dans la Tundra à cabine double, mais les nombreuses poignées d'accès rendent le processus acceptable. J'ai trouvé le siège en tissu du conducteur très confortable. Les réglages et le galbe du dossier m'ont permis de faire six heures de route au cours desquelles j'ai effectué deux petites pauses pour faire le plein et pour prendre le lunch, et ce, sans courbatures. Au chapitre du rangement, je classe cette Tundra au-dessus de la moyenne des camionnettes pleine grandeur. Seule la Ford F-150 rivalise avec elle. Le coffre central accueillait mon ordinateur portatif. J'ai pu glisser de nombreux articles dans les divers compartiments. J'ai également profité de la possibilité de relever l'assise des banquettes arrière (divisibles 60/40) pour loger une partie de mon matériel.
La Double Cab est offerte avec une caisse de 6,5 ou 8,1 pieds. Pour nos besoins, la caisse courte était amplement suffisant. Notre camionnette était équipée d'une doublure de caisse et de rails d'arrimage. Comme le démontrent les photos, il m'a fallu arrimer mes coffres pour éviter qu'ils ne se déplacent. Les crochets de série se trouvent au bas et aux quatre coins de la caisse. Il se révèle difficile de les atteindre quand on charge des boîtes. Comme il a plu pendant les quatre jours, j'ai noté que l'eau s'accumulait dans le fond de la caisse.
À vide, l'essieu arrière sautille légèrement. À ce chapitre, Ford et GM maîtrisent mieux cet effet parfois agaçant. Une fois chargée et arrimée à la remorque, la Tundra s'amuse. Le mode remorquage permet des départs en souplesse. Dans les montagnes, j'ai particulièrement aimé le fonctionnement du mode remorquage qui évite au groupe motopropulseur des rétrogradations inutiles. La puissance du 5,7-litres suffit à la tâche. Il n'a jamais montré un signe d'essoufflement. Les accélérations sont puissantes. Les manoeuvres de changement de direction et les virages s'effectuent sans encombre. Le freinage est à la hauteur des besoins. Ma vitesse de croisière a varié parce que je suivais le motorisé de mon collègue qui, lui, avec cette masse énorme, était affecté par les vents assez violents sur les routes montagneuses.
Les conditions d'essai m'ont permis d'apprécier les qualités mécaniques de cette nouvelle Tundra. J'ai particulièrement apprécié son confort de roulement à pleine charge et sa capacité de charge et de rangement.
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