Subaru Outback 2008
Subaru Outback 2008 - L'Outback offre les mêmes motorisations que la Legacy, à commencer par un moteur atmosphérique à quatre cylindres à plat de 2,5 litres (170 ch., 170 lb-pi de couple) et sa variante turbocompressée (243 ch., 241 lb-pi). Il y a aussi un moteur atmosphérique à six cylindres à plat de 3,0 litres qui génère 245 chevaux et un couple de 215 lb-pi.
L'Outback s'accompagne par ailleurs d'un choix de trois transmissions: une manuelle à cinq rapports (versions 2.5i et 2.5XT), une automatique à quatre rapports (2.5i) et une toute nouvelle automatique à cinq rapports (2.5XT et 3.0R).
Les Outback 2.5XT et 3.0R exploitent dorénavant le système SI-DRIVE de Subaru, lancé l'année dernière avec la Legacy Spec.B. Ce système de gestion du moteur permet au conducteur de choisir parmi trois modes de conduite différents, ce qui a pour effet d'altérer le calage variable des soupapes, la commande des gaz électronique et, le cas échéant, la réponse du turbocompresseur.
Vue de loin, les Subaru Legacy et Outback se ressemblent beaucoup. Mais avec le lifting de 2008, leurs différences ont été accentuées. La seconde arbore un pare-chocs avant plus compact et fermé ainsi que des phares et un capot spécifiques.
Par-dessus tout, on remarque l'écart entre les deux gardes au sol. Celle de l'Outback est de 213 ou 221 mm et celle de la Legacy, de 150 ou 160 mm. Cette caractéristique fait de l'Outback une voiture à potentiel tout-terrain et une alternative intéressante à la plupart des véhicules multisegments.
L'une des routes que j'ai empruntées était un petit chemin de ferme jonché de trous et de racines. Une familiale ordinaire ne se serait jamais risquée, mais l'Outback, elle, n'a eu aucun problème. C'était comme si elle roulait sur l'autoroute.
Il n'y a pas si longtemps, la plus grande lacune de Subaru était le design intérieur: trop de plastique, trop de noir. Mais depuis quelques années, on note une franche amélioration.
Cette tendance se poursuit avec la nouvelle Outback, qui a été influencée par le Tribeca. Le volant est d'apparence plus sportive et il comprend désormais des boutons pour la radio et le régulateur de vitesse. Le tableau de bord, lui, a été redessiné de manière à paraître plus branché et plus cohérent.
Bien sûr, la plupart des acheteurs potentiels de l'Outback s'intéressent au côté pratique. Dans cette optique, ils apprécieront la banquette arrière rabattable 60/40, les 1851 litres d'espace de chargement ainsi que les longerons de toit optionnels. Ceux qui désirent un peu plus de luxe opteront pour la version 3.0R avec groupe Optimum, qui inclut un système de navigation, un toit ouvrant électrique et des sièges en cuir.
L'Outback s'accompagne par ailleurs d'un choix de trois transmissions: une manuelle à cinq rapports (versions 2.5i et 2.5XT), une automatique à quatre rapports (2.5i) et une toute nouvelle automatique à cinq rapports (2.5XT et 3.0R).
Les Outback 2.5XT et 3.0R exploitent dorénavant le système SI-DRIVE de Subaru, lancé l'année dernière avec la Legacy Spec.B. Ce système de gestion du moteur permet au conducteur de choisir parmi trois modes de conduite différents, ce qui a pour effet d'altérer le calage variable des soupapes, la commande des gaz électronique et, le cas échéant, la réponse du turbocompresseur.
Vue de loin, les Subaru Legacy et Outback se ressemblent beaucoup. Mais avec le lifting de 2008, leurs différences ont été accentuées. La seconde arbore un pare-chocs avant plus compact et fermé ainsi que des phares et un capot spécifiques.
Par-dessus tout, on remarque l'écart entre les deux gardes au sol. Celle de l'Outback est de 213 ou 221 mm et celle de la Legacy, de 150 ou 160 mm. Cette caractéristique fait de l'Outback une voiture à potentiel tout-terrain et une alternative intéressante à la plupart des véhicules multisegments.
L'une des routes que j'ai empruntées était un petit chemin de ferme jonché de trous et de racines. Une familiale ordinaire ne se serait jamais risquée, mais l'Outback, elle, n'a eu aucun problème. C'était comme si elle roulait sur l'autoroute.
Il n'y a pas si longtemps, la plus grande lacune de Subaru était le design intérieur: trop de plastique, trop de noir. Mais depuis quelques années, on note une franche amélioration.
Cette tendance se poursuit avec la nouvelle Outback, qui a été influencée par le Tribeca. Le volant est d'apparence plus sportive et il comprend désormais des boutons pour la radio et le régulateur de vitesse. Le tableau de bord, lui, a été redessiné de manière à paraître plus branché et plus cohérent.
Bien sûr, la plupart des acheteurs potentiels de l'Outback s'intéressent au côté pratique. Dans cette optique, ils apprécieront la banquette arrière rabattable 60/40, les 1851 litres d'espace de chargement ainsi que les longerons de toit optionnels. Ceux qui désirent un peu plus de luxe opteront pour la version 3.0R avec groupe Optimum, qui inclut un système de navigation, un toit ouvrant électrique et des sièges en cuir.
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