Dodge Avenger SXT 2008
Dodge Avenger SXT 2008 - L'Avenger, dans la seconde moitié des années 1990, se voulait un coupé au tempérament sportif et aux ambitions de performance. Toutefois, aucun des deux moteurs offerts (un 4 cylindres de 2,0 litres et un V6 de 2,5 litres) n'était particulièrement fiable ou raffiné. En 2000, le modèle a été discontinué. En fait, la seule voiture encore active basée sur la plate-forme FJ/FF du Groupe Chrysler (Sebring, Breeze, Cirrus et Avenger) était la Sebring.
Le succès de son design frondeur dépend de la personnalité et de l'humeur de celui qui est en face de la voiture. Personnellement, je trouvais qu'elle avait fière allure, mais ma blonde trouvait son style exagéré. Une chose est sûre: l'énorme calandre et les ailes carrées s'imposent sans demander la permission. La version SXT que j'ai testée comprenait par surcroît un ensemble Allure Sport avec roues de 18 pouces, aileron arrière et phares antibrouillard. Revêtue d'un manteau noir, l'Avenger est sérieusement menaçante et rebelle.
L'Avenger peut accueillir jusqu'à cinq passagers, dont quatre de manière confortable. Parlant de confort, les sièges avant, qui m'ont d'abord semblé manquer de support, se sont avérés corrects après un certain temps et plusieurs kilomètres dans le corps. Le coffre est volumineux et, en général, la visibilité est bonne -- même avec la présence d'un aileron à l'arrière.
Trois moteurs sont disponibles: un 4 cylindres de 2,4 litres développant 173 chevaux, un V6 de 2,7 litres qui génère 189 chevaux et un V6 de 3,5 litres produisant 235 chevaux. Mon modèle d'essai arborait le second, qui est «polycarburant», faut-il préciser. Il ne s'agit pas d'un moteur faible en soi; le couple est suffisant et le fonctionnement est relativement doux. Toutefois, quand on accélère avec aplomb, le moteur devient bruyant, il consomme beaucoup (près de 12,5 L/100 km) et il n'est pas aussi performant que les moteurs à 4 cylindres sophistiqués de la compétition. Oui, on pourrait l'alimenter au carburant E85 (85 % d'éthanol), mais il semble que cette source d'énergie ne sera pas facilement accessible avant un bon bout de temps.
La transmission automatique à quatre rapports m'a paru lente à réagir, pour ne pas dire paresseuse. En vérité, elle fonctionne bien, mais il ne faut pas la brusquer. Elle aurait grandement besoin des deux rapports additionnels qu'offre la transmission reliée au V6 de 3,5 litres. Afin d'optimiser la performance du combo V6 2,7L-boîte automatique à 4 rapports, il faut conduire modérément et non comme un pilote de course.
Le point fort de l'Avenger sur la route est son comportement prévisible. La voiture offre un roulement ferme mais néanmoins assez souple pour bien absorber les nids-de-poule. À haute vitesse, elle procure un fort sentiment de confiance grâce à sa stabilité et sa bonne tenue de route. La direction est linéaire et bien assistée; elle permet de virer sec, surtout quand la voiture est chaussée de pneus de 18 pouces à profil surbaissé. Les freins à disque aux quatre roues se montrent étonnamment solides. La pédale est ferme et communicative, offrant une belle sensation.
Le succès de son design frondeur dépend de la personnalité et de l'humeur de celui qui est en face de la voiture. Personnellement, je trouvais qu'elle avait fière allure, mais ma blonde trouvait son style exagéré. Une chose est sûre: l'énorme calandre et les ailes carrées s'imposent sans demander la permission. La version SXT que j'ai testée comprenait par surcroît un ensemble Allure Sport avec roues de 18 pouces, aileron arrière et phares antibrouillard. Revêtue d'un manteau noir, l'Avenger est sérieusement menaçante et rebelle.
L'Avenger peut accueillir jusqu'à cinq passagers, dont quatre de manière confortable. Parlant de confort, les sièges avant, qui m'ont d'abord semblé manquer de support, se sont avérés corrects après un certain temps et plusieurs kilomètres dans le corps. Le coffre est volumineux et, en général, la visibilité est bonne -- même avec la présence d'un aileron à l'arrière.
Trois moteurs sont disponibles: un 4 cylindres de 2,4 litres développant 173 chevaux, un V6 de 2,7 litres qui génère 189 chevaux et un V6 de 3,5 litres produisant 235 chevaux. Mon modèle d'essai arborait le second, qui est «polycarburant», faut-il préciser. Il ne s'agit pas d'un moteur faible en soi; le couple est suffisant et le fonctionnement est relativement doux. Toutefois, quand on accélère avec aplomb, le moteur devient bruyant, il consomme beaucoup (près de 12,5 L/100 km) et il n'est pas aussi performant que les moteurs à 4 cylindres sophistiqués de la compétition. Oui, on pourrait l'alimenter au carburant E85 (85 % d'éthanol), mais il semble que cette source d'énergie ne sera pas facilement accessible avant un bon bout de temps.
La transmission automatique à quatre rapports m'a paru lente à réagir, pour ne pas dire paresseuse. En vérité, elle fonctionne bien, mais il ne faut pas la brusquer. Elle aurait grandement besoin des deux rapports additionnels qu'offre la transmission reliée au V6 de 3,5 litres. Afin d'optimiser la performance du combo V6 2,7L-boîte automatique à 4 rapports, il faut conduire modérément et non comme un pilote de course.
Le point fort de l'Avenger sur la route est son comportement prévisible. La voiture offre un roulement ferme mais néanmoins assez souple pour bien absorber les nids-de-poule. À haute vitesse, elle procure un fort sentiment de confiance grâce à sa stabilité et sa bonne tenue de route. La direction est linéaire et bien assistée; elle permet de virer sec, surtout quand la voiture est chaussée de pneus de 18 pouces à profil surbaissé. Les freins à disque aux quatre roues se montrent étonnamment solides. La pédale est ferme et communicative, offrant une belle sensation.
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