Chevrolet Cobalt LT 2007
Chevrolet Cobalt LT 2007 - Reposant sur la même plate-forme compacte que l'agonisante Saturn Ion, la Chevrolet Cobalt a marqué un énorme progrès en termes de qualité et d'exécution lors de sa mise en marché en 2005.
En fait, Chevrolet a même prétendu que la voiture était supérieure à la précédente génération de la Volkswagen Jetta (encore vendue au Canada sous le nom Jetta City) et qu'elle méritait le qualificatif «haut de gamme».
Revenons à la Cobalt 2007. L'une de ses principales forces est certainement son prix abordable. La version de base LS débute à 14 930$; la sportive SS, à 21 600$; et la «luxueuse» LTZ, à 22 950$.
J'ai testé la version intermédiaire LT, qui se vend à partir de 17 385$ et qui offre un bon équipement de série: climatiseur, lecteur CD/MP3 avec prise audio auxiliaire, vitres, serrures et miroirs électriques, régulateur de vitesse ainsi que banquette arrière divisée 60/40.
À équipement comparable, les Ford Focus, Honda Civic, Mazda3, Nissan Sentra et Toyota Corolla sont toutes plus dispendieuses que la Cobalt. (Pour ce qui est de la Jetta City avec boîte automatique et Groupe Luxe, elle coûte 20 165$.)
Même si elle se promène sans l'appui d'une suspension arrière indépendante, la voiture offre une conduite assez détendue et confortable sur l'autoroute. Son tempérament calme, sa tenue de route linéaire et sa direction légère contribuent à créer une expérience de conduite plutôt agréable.
Je souligne cependant que la souplesse de la suspension entraîne beaucoup de roulis de caisse en virage. En outre, la transition entre sous-virage et survirage s'effectue sans prévenir: quand on commence à tourner énergiquement le volant, la direction est trop légère et «artificielle» pour réagir instantanément.
À l'intérieur, la voiture que j'ai essayée était plutôt neutre de par son jeu de couleurs et son aménagement. Nonobstant l'instrumentation claire et l'interface centrale incluant la radio et le climatiseur, l'habitacle de la Cobalt manque de personnalité et de distinction.
La position de conduite est correcte, mais les sièges avant et arrière sont résolument plats et peu enveloppants -- le support pour les cuisses est limité. Ceux qui prennent place sur la banquette trouveront que le dégagement pour les jambes est juste et que le confort est déficient, surtout les personnes de grande taille.
En fait, Chevrolet a même prétendu que la voiture était supérieure à la précédente génération de la Volkswagen Jetta (encore vendue au Canada sous le nom Jetta City) et qu'elle méritait le qualificatif «haut de gamme».
Revenons à la Cobalt 2007. L'une de ses principales forces est certainement son prix abordable. La version de base LS débute à 14 930$; la sportive SS, à 21 600$; et la «luxueuse» LTZ, à 22 950$.
J'ai testé la version intermédiaire LT, qui se vend à partir de 17 385$ et qui offre un bon équipement de série: climatiseur, lecteur CD/MP3 avec prise audio auxiliaire, vitres, serrures et miroirs électriques, régulateur de vitesse ainsi que banquette arrière divisée 60/40.
À équipement comparable, les Ford Focus, Honda Civic, Mazda3, Nissan Sentra et Toyota Corolla sont toutes plus dispendieuses que la Cobalt. (Pour ce qui est de la Jetta City avec boîte automatique et Groupe Luxe, elle coûte 20 165$.)
Même si elle se promène sans l'appui d'une suspension arrière indépendante, la voiture offre une conduite assez détendue et confortable sur l'autoroute. Son tempérament calme, sa tenue de route linéaire et sa direction légère contribuent à créer une expérience de conduite plutôt agréable.
Je souligne cependant que la souplesse de la suspension entraîne beaucoup de roulis de caisse en virage. En outre, la transition entre sous-virage et survirage s'effectue sans prévenir: quand on commence à tourner énergiquement le volant, la direction est trop légère et «artificielle» pour réagir instantanément.
À l'intérieur, la voiture que j'ai essayée était plutôt neutre de par son jeu de couleurs et son aménagement. Nonobstant l'instrumentation claire et l'interface centrale incluant la radio et le climatiseur, l'habitacle de la Cobalt manque de personnalité et de distinction.
La position de conduite est correcte, mais les sièges avant et arrière sont résolument plats et peu enveloppants -- le support pour les cuisses est limité. Ceux qui prennent place sur la banquette trouveront que le dégagement pour les jambes est juste et que le confort est déficient, surtout les personnes de grande taille.
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