Subaru Tribeca 2008
Subaru Tribeca 2008 - Face aux critiques sur l'esthétique de leur première version, les dirigeants de Subaru ont apporté des changements quasi radicaux à l'allure extérieure du Tribeca. Mais en substituant une calandre plutôt terne à la fameuse calandre en forme d'avion, le fabricant a perdu l'aspect distinctif du Tribeca. Du premier coup d'oeil, on a plus l'impression de voir une Chrysler Pacifica car le Tribeca donne l'impression d'un gros utilitaire. On passe donc d'un véhicule frappant à un véhicule qui se fond davantage dans la masse des utilitaires. Des retouches auraient peut-être suffi à rallier tout le monde.
Quelle que soit la version, le Tribeca offre une bonne polyvalence de chargement. On peut rabattre aisément le dossier des sièges des rangées arrière et profiter d'un plancher plat pour y loger du matériel de tout acabit. C'est d'ailleurs l'une des raisons principales de la popularité des utilitaires sport. L'accès à la troisième rangée a été nettement amélioré : il sera plus facile pour de jeunes enfants d'y accéder puisque la deuxième rangée se déplace maintenant sur des glissières. Et comme le signalait Daniel : « Tous ces petits coffrets et ces espaces de rangement, c'est génial. »
On a agrandi la surface des glaces arrière, posé des rétroviseurs de dimensions plus imposantes et, forcément, plus utiles. La visibilité s'est améliorée grâce au nouveau capot plongeant. Il est déjà difficile de manoeuvrer des utilitaires en circulation urbaine et dans les stationnements des centres commerciaux. Il faut compter sur une visibilité maximale. Subaru a fait un effort à ce chapitre. Mais, je souligne particulièrement l'efficacité de la caméra de recul sur la version Premier. Elle est très bien située; il est facile de se retrouver à l'écran. Elle facilite la tâche du conducteur dans les manoeuvres de stationnement.
Peu importe que ce soit du côté des sièges ou de la suspension, vous remarquerez que le constructeur a apporté une attention spéciale au confort des passagers. Nos belles routes du Québec demandent des suspensions bien calibrées, et le Tribeca en possède une qui rend les déplacements confortables, mais également très sûrs. Il n'est pas toujours possible de bien marier ces deux qualités. Subaru a bien réussi avec le Tribeca 2008. À titre d'exemple, je me suis fait prendre dans un virage serré. Ma vitesse n'était pas élevée, mais le virage était très prononcé, en forme d'épingle. Je m'en suis très bien sorti sans toucher les freins pour ne pas déséquilibrer le Tribeca. Son secret : une bonne suspension et sa transmission intégrale symétrique.
Les ingénieurs de Subaru ont su écouter la critique : la boîte de vitesses à 5 rapports de série est mieux programmée. Elle répond mieux aux sollicitations du moteur boxer qui, lui, a gagné quelques chevaux et du couple. L'ensemble convient mieux au véhicule, sans en faire un sportif. Les accélérations sont franches, mais ce sont les dépassements qui ont gagné en vélocité : on retranche plus d'une seconde et demie de 80 à 120 km/h; en utilisant le troisième rapport, on obtient 7,1 secondes. La consommation de carburant s'est améliorée, d'autant plus qu'on utilise maintenant de l'essence régulière.
Quelle que soit la version, le Tribeca offre une bonne polyvalence de chargement. On peut rabattre aisément le dossier des sièges des rangées arrière et profiter d'un plancher plat pour y loger du matériel de tout acabit. C'est d'ailleurs l'une des raisons principales de la popularité des utilitaires sport. L'accès à la troisième rangée a été nettement amélioré : il sera plus facile pour de jeunes enfants d'y accéder puisque la deuxième rangée se déplace maintenant sur des glissières. Et comme le signalait Daniel : « Tous ces petits coffrets et ces espaces de rangement, c'est génial. »
On a agrandi la surface des glaces arrière, posé des rétroviseurs de dimensions plus imposantes et, forcément, plus utiles. La visibilité s'est améliorée grâce au nouveau capot plongeant. Il est déjà difficile de manoeuvrer des utilitaires en circulation urbaine et dans les stationnements des centres commerciaux. Il faut compter sur une visibilité maximale. Subaru a fait un effort à ce chapitre. Mais, je souligne particulièrement l'efficacité de la caméra de recul sur la version Premier. Elle est très bien située; il est facile de se retrouver à l'écran. Elle facilite la tâche du conducteur dans les manoeuvres de stationnement.
Peu importe que ce soit du côté des sièges ou de la suspension, vous remarquerez que le constructeur a apporté une attention spéciale au confort des passagers. Nos belles routes du Québec demandent des suspensions bien calibrées, et le Tribeca en possède une qui rend les déplacements confortables, mais également très sûrs. Il n'est pas toujours possible de bien marier ces deux qualités. Subaru a bien réussi avec le Tribeca 2008. À titre d'exemple, je me suis fait prendre dans un virage serré. Ma vitesse n'était pas élevée, mais le virage était très prononcé, en forme d'épingle. Je m'en suis très bien sorti sans toucher les freins pour ne pas déséquilibrer le Tribeca. Son secret : une bonne suspension et sa transmission intégrale symétrique.
Les ingénieurs de Subaru ont su écouter la critique : la boîte de vitesses à 5 rapports de série est mieux programmée. Elle répond mieux aux sollicitations du moteur boxer qui, lui, a gagné quelques chevaux et du couple. L'ensemble convient mieux au véhicule, sans en faire un sportif. Les accélérations sont franches, mais ce sont les dépassements qui ont gagné en vélocité : on retranche plus d'une seconde et demie de 80 à 120 km/h; en utilisant le troisième rapport, on obtient 7,1 secondes. La consommation de carburant s'est améliorée, d'autant plus qu'on utilise maintenant de l'essence régulière.
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