jeudi, septembre 13, 2007

Toyota FJ Cruiser 2007

Toyota FJ Cruiser 2007 - Plusieurs savent que le Jeep Willis a fondé cette catégorie de véhicules il y a plus de 60 ans. Au fil des décennies, GM, Ford et Chrysler ont tous eu leur propre version d'un Camion (camionnette ou autre). D'autres compagnies comme International ont également offert des modèles «tout-aller» aux consommateurs.

Le FJ Cruiser s'inspire de l'une des versions les plus acclamées du légendaire Land Cruiser: le FJ40 1960. Bien qu'il partage sa plate-forme et sa motorisation avec le 4Runner, le FJ Cruiser 2007 emprunte vraiment son design à son ancêtre. La combinaison des phares et de la calandre crée instantanément un lien entre le passé et le présent. Ce genre de pratique stylistique est plutôt commun dans ce segment de véhicules; pensons simplement à la calandre à sept fentes de Jeep et de Hummer.

Sur la route, toutefois, ce VUS défie toute logique. Malgré ses angles d'approche et de départ de 34 et 31 degrés, respectivement, ses énormes pneus P265/70R17 et sa garde au sol de 9,6 pouces, il est presque aussi docile qu'un bébé qui roupille. La suspension est principalement conçue pour gravir des escarpements rocheux, mais le FJ n'en donne pas l'impression tellement il est stable et très confortable à haute vitesse. Ceci dit, une série de bosses dans la chaussée perturbera le calme du camion et de ses occupants. La direction est précise malgré le très grand diamètre de braquage. Par ailleurs, le V6 de 4,0 litres est une bête de travail; il n'écrase pas la route autant que le moteur de 4,0 litres de Nissan, mais il traîne les 1948 kilos du FJ Cruiser avec aisance. Qu'y a-t-il de mieux qu'un solide moteur? Des freins tout aussi performants! La réponse de la pédale de frein est instantanée et, contrairement à celle d'autres modèles Toyota, elle est ferme et facile à moduler.

C'est le cas de le dire: on doit «grimper» à l'intérieur du FJ Cruiser. La marche est haute mais, au moins, les portes arrière à ouverture inversée facilitent énormément l'accès à la banquette. Nonobstant l'absence d'un accoudoir central, les occupants bénéficient d'un espace et d'un confort nettement supérieurs aux attentes. À l'avant, le dégagement pour les jambes, les épaules et la tête abonde. L'aménagement du tableau de bord est simple et fonctionnel. Mon modèle d'essai était la version de base et il y avait deux fois plus de «faux boutons» que de véritables commandes. Étant donné que le tableau de bord est généralement plat, l'omniprésence du plastique peut devenir un peu insupportable.

C'est en dehors des sentiers battus qu'on sépare les champions des prétendants. Il ne fait aucun doute que le H3 peut affronter les pires obstacles, mais c'est aussi vrai pour le FJ Cruiser. Une compétition entre ces deux-là serait assurément très intéressante. En tant que gars de camion récemment converti, j'imagine que les passionnés d'aventures tout-terrain dépenseraient leur argent sur des pneus, une suspension surélevée et un treuil et qu'il leur en resterait encore.

1 commentaire:

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