Chrysler Sebring cabriolet 2008
Chrysler Sebring cabriolet 2008 - La clientèle de la Sebring décapotable est assez intéressante. En effet, ce modèle représente une voiture principale pour les gens de 35 à 54 ans et une voiture secondaire pour ceux de 55 ans et plus. Elle attire autant les hommes que les femmes, dont 80 % sont mariés. En 2007, ces groupes de consommateurs ont le choix entre une Ford Mustang Cabriolet, une Toyota Solara Cabriolet, une Pontiac G6 Cabriolet et une Volkswagen Eos.
Vers le milieu de l'année 2006, Chrysler a lancé une berline intermédiaire de nouvelle génération à la personnalité très différente, et ce, afin de mieux rivaliser avec la compétition grandissante. De même, le modèle décapotable a été complètement redessiné, voire réinventé. L'aspect de la voiture qui fait le plus jaser, c'est la multitude d'options disponibles. Entre autres, trois types de toit sont au menu: un toit rigide et rétractable, une capote en tissu et une capote en vinyle.
Un élément qui plaira sûrement aux baby-boomers et aux acheteurs âgés de 40 ans et plus, c'est le fait que le coffre puisse facilement contenir quatre sacs de golf, dont deux quand la capote est abaissée. C'est formidable et parfait pour cette voiture à quatre places. La capacité totale du coffre se chiffre à 371 litres ou 13,1 pi3 (comparativement à 385 litres ou 13,6 pi3 pour la berline) lorsque la capote est relevée. Quand vient le temps de la rabattre pour profiter du soleil, le volume disponible demeure respectable: 187 litres ou 6,6 pi3.
Sous le capot, la version Touring arbore le V6 de 2,7 litres. Ses 189 chevaux conviennent adéquatement à tous les types de déplacements quotidiens. Les routes sur lesquelles j'ai roulé ont cependant fait ressortir une faiblesse importante dans la motorisation: la transmission automatique à quatre rapports. Son manque de rapports -- selon la norme actuelle -- faisait gronder et crier le moteur lors des ascensions. En remplaçant cette boîte par l'automatique à six rapports du moteur de 3,5 litres, Chrysler améliorerait grandement la situation. J'ai brièvement testé le plus gros des V6 et je suis tout de suite tombé en amour avec sa fougue plus soutenue. À l'inverse, le moteur à quatre cylindres de 2,4 litres est sous-alimenté, quoique économique, pour un véhicule de cette taille.
Au chapitre de la direction et des freins, la Sebring se montre à la hauteur quand vient le temps d'attaquer des virages serrés. D'ailleurs, les freins continuaient leur très bon travail même après des freinages brusques à répétition en descente. La direction, qui m'a certes paru trop assistée à basse vitesse, procurait amplement de feedback et de précision.
À l'extérieur, le look de la décapotable est quasi identique à celui de la berline. En fait, leur physionomie (en avant des montants «A») est la même. Pour le reste, les lignes se prolongent différemment afin de cacher le fait que la voiture est 3 pouces plus longue et que la partie arrière est gonflée, si on peut dire. Dans l'ensemble, l'effet est assez réussi. Je préfère de loin la silhouette et l'allure générale de la Sebring décapotable.
Il est clair que nous, Canadiens, voulons profiter au maximum de nos courts étés.
Vers le milieu de l'année 2006, Chrysler a lancé une berline intermédiaire de nouvelle génération à la personnalité très différente, et ce, afin de mieux rivaliser avec la compétition grandissante. De même, le modèle décapotable a été complètement redessiné, voire réinventé. L'aspect de la voiture qui fait le plus jaser, c'est la multitude d'options disponibles. Entre autres, trois types de toit sont au menu: un toit rigide et rétractable, une capote en tissu et une capote en vinyle.
Un élément qui plaira sûrement aux baby-boomers et aux acheteurs âgés de 40 ans et plus, c'est le fait que le coffre puisse facilement contenir quatre sacs de golf, dont deux quand la capote est abaissée. C'est formidable et parfait pour cette voiture à quatre places. La capacité totale du coffre se chiffre à 371 litres ou 13,1 pi3 (comparativement à 385 litres ou 13,6 pi3 pour la berline) lorsque la capote est relevée. Quand vient le temps de la rabattre pour profiter du soleil, le volume disponible demeure respectable: 187 litres ou 6,6 pi3.
Sous le capot, la version Touring arbore le V6 de 2,7 litres. Ses 189 chevaux conviennent adéquatement à tous les types de déplacements quotidiens. Les routes sur lesquelles j'ai roulé ont cependant fait ressortir une faiblesse importante dans la motorisation: la transmission automatique à quatre rapports. Son manque de rapports -- selon la norme actuelle -- faisait gronder et crier le moteur lors des ascensions. En remplaçant cette boîte par l'automatique à six rapports du moteur de 3,5 litres, Chrysler améliorerait grandement la situation. J'ai brièvement testé le plus gros des V6 et je suis tout de suite tombé en amour avec sa fougue plus soutenue. À l'inverse, le moteur à quatre cylindres de 2,4 litres est sous-alimenté, quoique économique, pour un véhicule de cette taille.
Au chapitre de la direction et des freins, la Sebring se montre à la hauteur quand vient le temps d'attaquer des virages serrés. D'ailleurs, les freins continuaient leur très bon travail même après des freinages brusques à répétition en descente. La direction, qui m'a certes paru trop assistée à basse vitesse, procurait amplement de feedback et de précision.
À l'extérieur, le look de la décapotable est quasi identique à celui de la berline. En fait, leur physionomie (en avant des montants «A») est la même. Pour le reste, les lignes se prolongent différemment afin de cacher le fait que la voiture est 3 pouces plus longue et que la partie arrière est gonflée, si on peut dire. Dans l'ensemble, l'effet est assez réussi. Je préfère de loin la silhouette et l'allure générale de la Sebring décapotable.
Il est clair que nous, Canadiens, voulons profiter au maximum de nos courts étés.
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