Toyota Camry Hybride 2007
Toyota Camry Hybride 2007 - Certes, les flocons de neige tombés sur les Laurentides au début décembre ont forcé la voiture à tranquillement seoir dans son stationnement. Avec ses pneus quatre saisons (P215/60R16), « ma » Cambry Hybride n'était absolument pas équipée pour l'hiver... De surcroît, son système d'antipatinage ne peut être désactivé d'une commande au tableau de bord. Résultat : en montée enneigée et glacée, le dispositif s'amuse à couper ce « momentum » du moteur dont on a tant besoin.
Par contre, une fois ranimé par la chaleur, l'hybride fonctionne à merveille. Aux feux de circulation ou dans les bouchons de circulation, c'est le mutisme complet dans l'habitacle - une façon bien agréable de nous rappeler que l'on fait notre part (oh, une toute petite part!) pour l'environnement.
Toujours bien réchauffée, la Camry Hybride accepte de rouler jusqu'à 30km/h sans participation aucune du moteur quatre cylindres. Du coup, la conduite en ville se transforme en un concours où l'objectif est de s'affranchir le plus longtemps possible de la motorisation à essence.
Ce moteur est disposé à développer 147 chevaux, mais le groupe électrique ajoute de quoi atteindre une puissance nette de 187 chevaux. C'est étonnamment suffisant pour propulser la berline de 1669 kg (poids à vide en ordre de marche).
Certes, l'on pourrait élaborer sur le 0-100km/h (8,9 secondes selon Toyota, 8,6 secondes selon l'Association des Journalistes automobile du Canada) mais sincèrement, l'hybride n'est pas de celles qui incitent à battre des records de vitesse. Au contraire, elle exhorte à rechercher la meilleure consommation d'essence qui soit. Voilà qui se traduit par des démarrages tout en délicatesse - et un pied qui pense davantage à flirter avec le frein que l'accélérateur...
Par contre, qui dit hybride, dit nécessairement direction électrique et transmission à variation continue. Personnellement, je ne suis pas une fervente des directions électriques - elles retranchent trop souvent la communication avec la route. Heureusement, celle qui équipe la Camry est bien réglée et préserve de bonnes sensations au conducteur.
Pour ma part, comme à chaque fois que j'ai eu l'occasion de conduire une hybride, j'ai adoré roulé près de 800 kilomètres avec un seul réservoir. On y prend rapidement goût, croyez-moi!
Mes réserves pour la Camry Hybride ne vont donc pas à sa consommation en carburant, mais plutôt... à son habitacle. Certes, l'intérieur est spacieux, les sièges confortables, les rangements nombreux et pratiques. Mais le plastique qui habille le tableau de bord et les portières est d'une qualité moindre qu'espérée - pas du tout plaisant au toucher, ce plastique rugueux.
Enfin, le coffre... Ne pensez pas le charger comme vous le feriez pour n'importe quelle autre berline intermédiaire. En effet, l'espace cargo de la Camry Hybride est suffisamment handicapé par les batteries du système électrique pour vous faire reconsidérer votre offre de conduire le beau-frère, et toutes ses valises, à l'aéroport... Mais peut-être que vous ne vous en plaindrez pas?!?!
Par contre, une fois ranimé par la chaleur, l'hybride fonctionne à merveille. Aux feux de circulation ou dans les bouchons de circulation, c'est le mutisme complet dans l'habitacle - une façon bien agréable de nous rappeler que l'on fait notre part (oh, une toute petite part!) pour l'environnement.
Toujours bien réchauffée, la Camry Hybride accepte de rouler jusqu'à 30km/h sans participation aucune du moteur quatre cylindres. Du coup, la conduite en ville se transforme en un concours où l'objectif est de s'affranchir le plus longtemps possible de la motorisation à essence.
Ce moteur est disposé à développer 147 chevaux, mais le groupe électrique ajoute de quoi atteindre une puissance nette de 187 chevaux. C'est étonnamment suffisant pour propulser la berline de 1669 kg (poids à vide en ordre de marche).
Certes, l'on pourrait élaborer sur le 0-100km/h (8,9 secondes selon Toyota, 8,6 secondes selon l'Association des Journalistes automobile du Canada) mais sincèrement, l'hybride n'est pas de celles qui incitent à battre des records de vitesse. Au contraire, elle exhorte à rechercher la meilleure consommation d'essence qui soit. Voilà qui se traduit par des démarrages tout en délicatesse - et un pied qui pense davantage à flirter avec le frein que l'accélérateur...
Par contre, qui dit hybride, dit nécessairement direction électrique et transmission à variation continue. Personnellement, je ne suis pas une fervente des directions électriques - elles retranchent trop souvent la communication avec la route. Heureusement, celle qui équipe la Camry est bien réglée et préserve de bonnes sensations au conducteur.
Pour ma part, comme à chaque fois que j'ai eu l'occasion de conduire une hybride, j'ai adoré roulé près de 800 kilomètres avec un seul réservoir. On y prend rapidement goût, croyez-moi!
Mes réserves pour la Camry Hybride ne vont donc pas à sa consommation en carburant, mais plutôt... à son habitacle. Certes, l'intérieur est spacieux, les sièges confortables, les rangements nombreux et pratiques. Mais le plastique qui habille le tableau de bord et les portières est d'une qualité moindre qu'espérée - pas du tout plaisant au toucher, ce plastique rugueux.
Enfin, le coffre... Ne pensez pas le charger comme vous le feriez pour n'importe quelle autre berline intermédiaire. En effet, l'espace cargo de la Camry Hybride est suffisamment handicapé par les batteries du système électrique pour vous faire reconsidérer votre offre de conduire le beau-frère, et toutes ses valises, à l'aéroport... Mais peut-être que vous ne vous en plaindrez pas?!?!
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