Toyota Prius 2007
Toyota Prius 2007 - La Prius est facile à reconnaître grâce à son design unique. En un mot: génial. L'habitacle a l'air un peu futuriste, pour ne pas dire révolutionnaire. C'est exactement comme ça que j'imaginais les intérieurs de voitures de l'avenir quand j'avais 10 ans. On retrouve une puissante chaîne audio JBL grâce au groupe d'options B, qui inclut également un système antidérapage, une alarme antivol, des phares antibrouillard, la compatibilité téléphonique Bluetooth et plus encore.
Avouons-le, la Prius n'est pas conçue pour offrir une maniabilité ou un confort de roulement extrême. Ceci dit, sa conduite est calme et on ressent seulement des chocs que lorsque la route devient très endommagée. Le cas échéant, les passagers sentiront presque tous les petits trous dans la chaussée. Toutefois, sur l'autoroute ou sur des rues en bon état, le roulement est aussi doux qu'avec n'importe quelle voiture compacte dotée d'une suspension souple.
La Prius possède 110 chevaux et une transmission à variation continue (CVT), ce qui veut dire qu'on ne risque à peu près pas de se faire prendre en excès de vitesse. L'accélération au décollage est modérée mais, lorsque la Prius doit dépasser d'autres véhicules, elle se tire plutôt bien d'affaires. Il faut un peu calculer nos manoeuvres, mais le tout devient intuitif après un certain temps.
Avec un rendement aussi spectaculaire, la Prius ne se fait pas supplier pour être conduite. Oui, j'adore rouler agressivement et faire des duels aux feux rouges, mais considérant le prix de l'essence actuel, je me contente très bien du plaisir qu'offre cette Toyota.
Un moteur thermique, des batteries, un générateur et un moteur électrique travaillent en harmonie sous la supervision d'un complexe ordinateur qui décide quel composant fonctionne à quel moment. Sous faible charge ou à basse vitesse de croisière, la Prius recourt seulement à l'électricité pour avancer; les batteries se rechargent avec l'énergie cinétique récupérée lors des décélérations -- un processus appelé «freinage régénérateur».
Il y a beaucoup de choses qui travaillent sous nos pieds pendant que tout ceci se déroule. Parfois, on a l'impression de sentir la transition entre les différents modes de fonctionnement; d'autres fois, on n'a pas la moindre idée de ce que fait le système. Je suis sûr cependant que les ingénieurs de Toyota le savent parfaitement et c'est tout ce que j'ai besoin pour me rassurer.
Ma consommation d'essence moyenne a été de 6,0 litres aux 100 kilomètres, dont un rendement impressionnant de 5,0 L/100 km en ville. Les deux extrêmes ont été de 4,9 et 7,2 L/100 km. Tout dépend du style de conduite et de la circulation. Il importe toutefois de préciser que la Prius est plus économique en ville que sur l'autoroute en raison de son moteur thermique qui s'y éteint plus souvent.
Mais il y a d'autres chiffres tout aussi importants dont il faut tenir compte.
Avouons-le, la Prius n'est pas conçue pour offrir une maniabilité ou un confort de roulement extrême. Ceci dit, sa conduite est calme et on ressent seulement des chocs que lorsque la route devient très endommagée. Le cas échéant, les passagers sentiront presque tous les petits trous dans la chaussée. Toutefois, sur l'autoroute ou sur des rues en bon état, le roulement est aussi doux qu'avec n'importe quelle voiture compacte dotée d'une suspension souple.
La Prius possède 110 chevaux et une transmission à variation continue (CVT), ce qui veut dire qu'on ne risque à peu près pas de se faire prendre en excès de vitesse. L'accélération au décollage est modérée mais, lorsque la Prius doit dépasser d'autres véhicules, elle se tire plutôt bien d'affaires. Il faut un peu calculer nos manoeuvres, mais le tout devient intuitif après un certain temps.
Avec un rendement aussi spectaculaire, la Prius ne se fait pas supplier pour être conduite. Oui, j'adore rouler agressivement et faire des duels aux feux rouges, mais considérant le prix de l'essence actuel, je me contente très bien du plaisir qu'offre cette Toyota.
Un moteur thermique, des batteries, un générateur et un moteur électrique travaillent en harmonie sous la supervision d'un complexe ordinateur qui décide quel composant fonctionne à quel moment. Sous faible charge ou à basse vitesse de croisière, la Prius recourt seulement à l'électricité pour avancer; les batteries se rechargent avec l'énergie cinétique récupérée lors des décélérations -- un processus appelé «freinage régénérateur».
Il y a beaucoup de choses qui travaillent sous nos pieds pendant que tout ceci se déroule. Parfois, on a l'impression de sentir la transition entre les différents modes de fonctionnement; d'autres fois, on n'a pas la moindre idée de ce que fait le système. Je suis sûr cependant que les ingénieurs de Toyota le savent parfaitement et c'est tout ce que j'ai besoin pour me rassurer.
Ma consommation d'essence moyenne a été de 6,0 litres aux 100 kilomètres, dont un rendement impressionnant de 5,0 L/100 km en ville. Les deux extrêmes ont été de 4,9 et 7,2 L/100 km. Tout dépend du style de conduite et de la circulation. Il importe toutefois de préciser que la Prius est plus économique en ville que sur l'autoroute en raison de son moteur thermique qui s'y éteint plus souvent.
Mais il y a d'autres chiffres tout aussi importants dont il faut tenir compte.
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