Opel Zafira
Cam Québec - Sous forme de prototype au Salon de Francfort en septembre 1997, la Zafira a débuté sa carrière en janvier 1999. Il s'agit de la réponse d'Opel au précurseur de la catégorie des monospaces compacts, le Renault Scénic.
Sous une ligne discrète, mais élégante, elle se distingue par son astucieux système de modularité, baptisé Flex7, qui lui permet de passer de deux à sept vraies places assises en quelques secondes, sans devoir déposer les sièges. Cette astuce lui vaut d'ailleurs, avec la Fiat Multipla (qui offre six places grâce à son originale configuration à trois sièges avant) d'offrir davantage que les traditionnelles cinq places assises.
Deux niveaux de finition sont disponibles : Comfort et Élégance. La dotation de série est satisfaisante (quatre Air-Bag, ABS, pack électrique et autoradio), à l'exception de la climatisation, optionnelle sur l'entrée de gamme Comfort, mais heureusement en série sur l'Élégance. Il s'agit en effet d'un équipement absolument indispensable sur ce type de véhicule, aux abondantes surfaces vitrées qui se chargent de buée en hiver et qui le transforment en étuve en été !
Initialement commercialisée avec deux moteurs essence, – 1.6i, 16V, de 101 ch et 1.8i, 16V, de 125 ch –, et en turbo diesel – 2.0 DI, 16V, 82 ch, la Zafira a vu son offre mécanique optimisée à l'automne 2000. En essence, il s'agit de l'ajout d'un bloc 2.2i, 16V, de 147 ch et, surtout, du remplacement du 2.0 DI, sous-dimensionné par le 2.0 DTI, 16V, avec échangeur d'air de suralimentation délivrant 100 ch.
La motorisation 1.8i, 16V, de 125 ch, apporte logiquement une nette amélioration sur le plan des performances, sauf en boîte automatique où elles retombent au niveau du 1.6. L'agrément de conduite et la sécurité lors des dépassements s'en ressentent, tandis que les consommations restent sensiblement identiques (sauf en boîte auto : + 2 l/100 km en moyenne).
Les modèles animés par le 2.2i, 16V, de 147 ch, se destinent à un usage exclusivement autoroutier. Une prédisposition confirmée autant par leurs performances (au risque de faire ressortir les limites du châssis, si l'on sollicite trop la mécanique), que par leur consommation en ville, à plus forte raison sur ceux équipés de boîte automatique (les performances sont alors équivalentes à celles du 1.8i).
En diesel, le 2.0 DI, 16V, de 82 ch, s'avère sous-dimensionné pour un tel véhicule destiné à rouler chargé. Moyennant quoi, il sait rester sobre, et ses prix en neuf restaient contenus. À choisir donc davantage pour son espace habitable et son équipement que pour ses performances. Le 2.0 DTI, 16V, de 100 ch, qui se différencie du précédent par l'adjonction d'un échangeur thermique, se montre bien plus convaincant, pour des consommations strictement identiques.
Sous une ligne discrète, mais élégante, elle se distingue par son astucieux système de modularité, baptisé Flex7, qui lui permet de passer de deux à sept vraies places assises en quelques secondes, sans devoir déposer les sièges. Cette astuce lui vaut d'ailleurs, avec la Fiat Multipla (qui offre six places grâce à son originale configuration à trois sièges avant) d'offrir davantage que les traditionnelles cinq places assises.
Deux niveaux de finition sont disponibles : Comfort et Élégance. La dotation de série est satisfaisante (quatre Air-Bag, ABS, pack électrique et autoradio), à l'exception de la climatisation, optionnelle sur l'entrée de gamme Comfort, mais heureusement en série sur l'Élégance. Il s'agit en effet d'un équipement absolument indispensable sur ce type de véhicule, aux abondantes surfaces vitrées qui se chargent de buée en hiver et qui le transforment en étuve en été !
Initialement commercialisée avec deux moteurs essence, – 1.6i, 16V, de 101 ch et 1.8i, 16V, de 125 ch –, et en turbo diesel – 2.0 DI, 16V, 82 ch, la Zafira a vu son offre mécanique optimisée à l'automne 2000. En essence, il s'agit de l'ajout d'un bloc 2.2i, 16V, de 147 ch et, surtout, du remplacement du 2.0 DI, sous-dimensionné par le 2.0 DTI, 16V, avec échangeur d'air de suralimentation délivrant 100 ch.
La motorisation 1.8i, 16V, de 125 ch, apporte logiquement une nette amélioration sur le plan des performances, sauf en boîte automatique où elles retombent au niveau du 1.6. L'agrément de conduite et la sécurité lors des dépassements s'en ressentent, tandis que les consommations restent sensiblement identiques (sauf en boîte auto : + 2 l/100 km en moyenne).
Les modèles animés par le 2.2i, 16V, de 147 ch, se destinent à un usage exclusivement autoroutier. Une prédisposition confirmée autant par leurs performances (au risque de faire ressortir les limites du châssis, si l'on sollicite trop la mécanique), que par leur consommation en ville, à plus forte raison sur ceux équipés de boîte automatique (les performances sont alors équivalentes à celles du 1.8i).
En diesel, le 2.0 DI, 16V, de 82 ch, s'avère sous-dimensionné pour un tel véhicule destiné à rouler chargé. Moyennant quoi, il sait rester sobre, et ses prix en neuf restaient contenus. À choisir donc davantage pour son espace habitable et son équipement que pour ses performances. Le 2.0 DTI, 16V, de 100 ch, qui se différencie du précédent par l'adjonction d'un échangeur thermique, se montre bien plus convaincant, pour des consommations strictement identiques.
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