Pontiac Grand Prix GXP
Pontiac Grand Prix GXP - En marge des deux autres variantes de Grand Prix proposées par Pontiac, un modèle de base et la GT, toutes deux munies d'un V6 de 3,8 litres, atmosphérique pour la première et suralimenté pour la seconde, l'imposante GXP est sans conteste le porte-étendard de la gamme. On la reconnaît à ses bas de caisse accentués et ses carénages avant et arrière spécifiques. L'habitacle a des sièges recouverts de cuir avec empiècements en suède assortis. Des couvre-seuils d'aluminium brossé, des tapis protecteurs ornés de l'emblème GXP et un groupe d'instruments unique distinguent également ce modèle au tempérament sportif.
Le champ de vision est satisfaisant dans toutes les directions, particulièrement vers l'arrière, à cause de la ligne de caisse qui n'est pas trop relevée au niveau du coffre. Celui-ci est profond et son seuil large n'est pas trop gênant. Cependant le coffre a un dégagement vertical limité. En revanche, grâce aux dossiers escamotables de la banquette arrière, son volume est modulable.
En outre, à vitesse de croisière (sur l'autoroute, par exemple) le système de cylindrée variable désactive la moitié des cylindres et transforme temporairement ce V8 en V4. Cela permet de réduire la consommation d'essence. Le constructeur fait miroiter une diminution de l'ordre de 12 % dans les meilleures conditions. À tout le moins, ce système a un fonctionnement parfaitement imperceptible.
La servodirection Magnasteer II gagnerait à être plus ferme à haute vitesse, autrement elle est précise. Par ailleurs, la suspension de la GXP est abaissée de 9 millimètres par rapport à celle des autres Grand Prix. Elle a une calibrage plus ferme (juste assez) et fait usage d'amortisseurs à gaz Bilstein, de ressorts à taux de flexion supérieur et d'une barre stabilisatrice de plus fort diamètre qui, ensemble, contribuent à réduire le roulis.
Le freinage est à la hauteur des performances. Quatre freins à disque surdimensionné et ventilé apportent à la GXP cet élément de performance si important, qui confirme son statut de berline sport.
Le champ de vision est satisfaisant dans toutes les directions, particulièrement vers l'arrière, à cause de la ligne de caisse qui n'est pas trop relevée au niveau du coffre. Celui-ci est profond et son seuil large n'est pas trop gênant. Cependant le coffre a un dégagement vertical limité. En revanche, grâce aux dossiers escamotables de la banquette arrière, son volume est modulable.
En outre, à vitesse de croisière (sur l'autoroute, par exemple) le système de cylindrée variable désactive la moitié des cylindres et transforme temporairement ce V8 en V4. Cela permet de réduire la consommation d'essence. Le constructeur fait miroiter une diminution de l'ordre de 12 % dans les meilleures conditions. À tout le moins, ce système a un fonctionnement parfaitement imperceptible.
La servodirection Magnasteer II gagnerait à être plus ferme à haute vitesse, autrement elle est précise. Par ailleurs, la suspension de la GXP est abaissée de 9 millimètres par rapport à celle des autres Grand Prix. Elle a une calibrage plus ferme (juste assez) et fait usage d'amortisseurs à gaz Bilstein, de ressorts à taux de flexion supérieur et d'une barre stabilisatrice de plus fort diamètre qui, ensemble, contribuent à réduire le roulis.
Le freinage est à la hauteur des performances. Quatre freins à disque surdimensionné et ventilé apportent à la GXP cet élément de performance si important, qui confirme son statut de berline sport.
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