Volkswagen Eos 2.0T 2007
Volkswagen Eos 2.0T 2007 - Toutefois, vous savez bien que les hivers longs, froids et pénibles gâchent l'expérience d'être propriétaire d'une décapotable. Un toit souple laisse infiltrer plus de bruit dans l'habitacle, est plus propice au vandalisme, et créé des angles morts massifs car les glaces sont plus petites. Le sacrifice pour profiter de quelques belles journées à rouler le toit baissé est d'endurer cette sacrée capote en plein hiver.
Le seul moteur disponible dans l'Eos est le 4-cylindres de 2,0 litres turbocompressé de VW. Ses 200 chevaux et 207 livre-pieds de couple suffisent pour faire de cette voiture un délice à conduire. La boîte automatisée DSG apporte également une contribution important avec des passages de rapports qui s'effectuent à la vitesse de l'éclair. Je préfère de loin la DSG à la boîte automatique Tiptronic conventionnelle dont les hésitations au décollage deviennent irritantes.
Au cours de la semaine, j'ai obtenu une moyenne de consommation d'essence de 11,4 litres aux 100 kilomètres, ce qui n'est pas si mal, considérant le fait que la voiture incite à maintenir une cadence plus rapide. Le moteur requiert de l'essence super sans plomb, par contre, mais le niveau de performances et son appétit décent en font un bon compromis.
L'Eos est agile, aussi. Vous pouvez pousser la voiture avec assurance dans les courbes serrées, et elle répond exactement comme vous voulez. Le roulement est ferme, ce dont vous vous attendez d'une voiture sport, mais est tout de même bien calibré pour la conduite quotidienne.
Le tableau de bord ressemble à celui dans n'importe quel autre Volkswagen : un mélange de cercles et de carrés, avec des garnitures argentées et des matériaux de haute qualité. Tout est à portée de la main, et vous n'êtes pas contraint de lâcher le volant pour changer de rapports, régler la radio ou changer l'affichage de l'ordinateur de bord tout en conduisant, puisque toutes les commandes nécessaires y sont placées.
Les passagers à l'arrière seront à l'aise, car le dégagement pour les jambes des adultes de taille moyenne est tout juste suffisant. Pour ce qui des enfants qui voyagent à l'arrière, il ne sera pas simple de les attacher, car les dossiers des sièges avant sont têtus quand on les rabat vers l'avant et qu'on les replace.
En environ 20 secondes, le toit peut être remonté ou rabaissé, et le spectacle de son opération vaut la peine d'être regardé : les deux sections du toit dansent un tango très serré tout en se repliant dans le coffre de la voiture. Le toit complexe incorpore également un toit ouvrant vitré qui coulisse de façon indépendante. Le couvercle du coffre comporte deux ensembles de charnières, et s'ouvre vers l'arrière pour permettre au toit de s'y ranger, mais vous devez y prévoir environ deux pieds d'espace libre derrière l'Eos.
Avec le toit rangé, le bruit de vent est minime, malgré qu'au beau milieu de l'hiver, la croisière sur l'autoroute dans le grand air aurait été un peu ridicule. Il y a un pare-vent repliable dans le coffre, offert en option, mais je n'ai pas eu la chance de l'utiliser. Nous devrons refaire un essai de l'Eos l'été prochain. En passant, pas une seule goutte d'eau n'a réussi à traverser le toit dans le lave-auto automatique.
L'esthétique de l'Eos ne provoque pas des montées d'adrénaline dans mes veines. Elle est belle, mais pour une voiture sport, on s'attendrait à un look plus aventureux. La partie avant de la voiture a des airs de famille, mais la portion arrière affiche une apparence un peu maladroite avec le toit en place. Le couvercle du coffre montre un gros écart avec le reste de la carrosserie, accentuée davantage par le sceau en caoutchouc noir qui gâche le profil de l'Eos : c'est le prix à payer pour le fonctionnement complexe du toit rigide.
La Volkswagen Eos affiche un prix de base de 36 900 $. Avec les options incluses dans cette voiture d'essai, dont le Groupe Cuir Sport (3 855 $), la boîte DSG (1 400 $) et le pare-vent amovible (375 $), le prix atteint les 42 530 $. En comparaison, une Pontiac G6 GT décapotable entièrement équipée coûte 40 065 $, tandis qu'une Mazda MX-5 GT TRCE entièrement équipée coûte 38 945 $. La Volvo C70 est beaucoup plus dispendieuse, toutefois, étant offerte à partir de 56 495 $.
Il a y peu de choses à ne pas aimer de l'Eos. Elle est bien équipée, rapide, pratique durant les quatre saisons et amusante à conduire. Elle coûte plus chère que la concurrence, mais son toit rigide vous permettra de profiter du climat estival sans avoir à faire de sacrifices en hiver, comme c'est le cas des décapotables conventionnelles.
Le seul moteur disponible dans l'Eos est le 4-cylindres de 2,0 litres turbocompressé de VW. Ses 200 chevaux et 207 livre-pieds de couple suffisent pour faire de cette voiture un délice à conduire. La boîte automatisée DSG apporte également une contribution important avec des passages de rapports qui s'effectuent à la vitesse de l'éclair. Je préfère de loin la DSG à la boîte automatique Tiptronic conventionnelle dont les hésitations au décollage deviennent irritantes.
Au cours de la semaine, j'ai obtenu une moyenne de consommation d'essence de 11,4 litres aux 100 kilomètres, ce qui n'est pas si mal, considérant le fait que la voiture incite à maintenir une cadence plus rapide. Le moteur requiert de l'essence super sans plomb, par contre, mais le niveau de performances et son appétit décent en font un bon compromis.
L'Eos est agile, aussi. Vous pouvez pousser la voiture avec assurance dans les courbes serrées, et elle répond exactement comme vous voulez. Le roulement est ferme, ce dont vous vous attendez d'une voiture sport, mais est tout de même bien calibré pour la conduite quotidienne.
Le tableau de bord ressemble à celui dans n'importe quel autre Volkswagen : un mélange de cercles et de carrés, avec des garnitures argentées et des matériaux de haute qualité. Tout est à portée de la main, et vous n'êtes pas contraint de lâcher le volant pour changer de rapports, régler la radio ou changer l'affichage de l'ordinateur de bord tout en conduisant, puisque toutes les commandes nécessaires y sont placées.
Les passagers à l'arrière seront à l'aise, car le dégagement pour les jambes des adultes de taille moyenne est tout juste suffisant. Pour ce qui des enfants qui voyagent à l'arrière, il ne sera pas simple de les attacher, car les dossiers des sièges avant sont têtus quand on les rabat vers l'avant et qu'on les replace.
En environ 20 secondes, le toit peut être remonté ou rabaissé, et le spectacle de son opération vaut la peine d'être regardé : les deux sections du toit dansent un tango très serré tout en se repliant dans le coffre de la voiture. Le toit complexe incorpore également un toit ouvrant vitré qui coulisse de façon indépendante. Le couvercle du coffre comporte deux ensembles de charnières, et s'ouvre vers l'arrière pour permettre au toit de s'y ranger, mais vous devez y prévoir environ deux pieds d'espace libre derrière l'Eos.
Avec le toit rangé, le bruit de vent est minime, malgré qu'au beau milieu de l'hiver, la croisière sur l'autoroute dans le grand air aurait été un peu ridicule. Il y a un pare-vent repliable dans le coffre, offert en option, mais je n'ai pas eu la chance de l'utiliser. Nous devrons refaire un essai de l'Eos l'été prochain. En passant, pas une seule goutte d'eau n'a réussi à traverser le toit dans le lave-auto automatique.
L'esthétique de l'Eos ne provoque pas des montées d'adrénaline dans mes veines. Elle est belle, mais pour une voiture sport, on s'attendrait à un look plus aventureux. La partie avant de la voiture a des airs de famille, mais la portion arrière affiche une apparence un peu maladroite avec le toit en place. Le couvercle du coffre montre un gros écart avec le reste de la carrosserie, accentuée davantage par le sceau en caoutchouc noir qui gâche le profil de l'Eos : c'est le prix à payer pour le fonctionnement complexe du toit rigide.
La Volkswagen Eos affiche un prix de base de 36 900 $. Avec les options incluses dans cette voiture d'essai, dont le Groupe Cuir Sport (3 855 $), la boîte DSG (1 400 $) et le pare-vent amovible (375 $), le prix atteint les 42 530 $. En comparaison, une Pontiac G6 GT décapotable entièrement équipée coûte 40 065 $, tandis qu'une Mazda MX-5 GT TRCE entièrement équipée coûte 38 945 $. La Volvo C70 est beaucoup plus dispendieuse, toutefois, étant offerte à partir de 56 495 $.
Il a y peu de choses à ne pas aimer de l'Eos. Elle est bien équipée, rapide, pratique durant les quatre saisons et amusante à conduire. Elle coûte plus chère que la concurrence, mais son toit rigide vous permettra de profiter du climat estival sans avoir à faire de sacrifices en hiver, comme c'est le cas des décapotables conventionnelles.
1 commentaire:
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