Lexus IS 250 2007
Lexus IS 250 2007 - Le marché a considérablement évolué depuis le lancement de la division de prestige de Toyota et de son V6 exceptionnellement bien équilibré. Il est évident que Lexus s'est taillé sa propre niche dans la sphère automobile. Un coup d'oeil à la IS 250 d'entrée de gamme permettra de comprendre comment et pourquoi.
Tout comme l'extérieur, l'intérieur transpire le luxe et la sportivité. On retrouve des sièges en cuir à multiples réglages électriques ainsi qu'une console centrale garnie de bois qui s'harmonise doucement à un haut bloc central. Les accents métalliques ajoutent un côté branché, notamment sur le levier de vitesses qui occupe une place centrale. Les instruments sont superbes, à l'instar des commandes, des matériaux et de la qualité d'assemblage. Un sentiment de fierté émane de chaque centimètre de l'habitacle de la IS 250.
L'entrée et la sortie se font plutôt facilement, bien que l'habitacle soit un tantinet trop compact. L'espace pour la tête n'est que passable, tandis que la banquette arrière devrait être laissée aux enfants. À l'avant, on a davantage la sensation d'être assis dans un coupé, ce qui est génial pour des personnes plus petites mais pas pour des grands individus comme moi.
En outre, le rangement à portée de main est limité et aucun des deux porte-gobelets ne permet de tenir un verre de café sans qu'on l'accroche en changeant les vitesses. Heureusement, la beauté et le style compensent pour ces lacunes... à moins d'être démesurément plus grand que la moyenne. Presque toutes les voitures offrent des sièges en cuir à réglages électriques et un lecteur CD (de série ou en option). Ce sont donc les accessoires moins communs qui permettent à certaines de se démarquer. La IS 250 est l'une d'elles.
N'oublions pas le système de surveillance de la pression des pneus, le mode «Neige» associé à l'accélérateur électronique qui permet d'obtenir plus d'adhérence ainsi que les sièges avant ventilés. La boite manuelle à six rapports est un compagnon idéal pour ce V6, quoique le maniement du levier arrive un peu en deçà des attentes. L'embrayage est léger et indulgent mais en même temps précis, ce qui démontre le bel équilibre de la IS.
Parlant d'équilibre, c'est celui entre la puissance et la performance environnementale qui m'impressionne le plus. La IS 250 est assez fougueuse pour faire grimper l'adrénaline de tous les conducteurs sauf les plus chevronnés et assez frugale pour être qualifiée d'économique. En effet, la consommation de 11 L/100 km en ville et de 8 L/100 km sur l'autoroute m'a agréablement surpris.
Autre avantage: la IS s'accompagne de plusieurs options indispensables à une berline de luxe. Premièrement, la traction intégrale est disponible -- tout comme chez BMW et Audi. Ensuite, il y a un V6 plus puissant de 3,5 litres qui génère 306 chevaux, ce qui devrait satisfaire les mordus du volant. Si ce n'est pas le cas, eh bien, Lexus n'est pas en reste. À l'instar de BMW avec sa M3 et d'Audi avec sa S4/RS4, le fabricant japonais proposera bientôt une version haute performance: la IS-F au V8 de plus de 400 chevaux.
De plus, le système antidérapage électronique ne peut être désactivé complètement. Ce n'est pas tout: quand la voiture glisse, le système applique vivement les freins et émet un signal sonore qui devient vite agaçant.
Pour ce qui est de la beauté du design, de l'étoffe intérieure et de l'agrément de conduite, la IS 250 livre assurément la marchandise. Elle joue dans la même cour que les grands, mais elle n'a pas à se préoccuper de rendre hommage à ses ancêtres, ce qui fait que son design est un peu plus branché et particulier. Tout au long de ma semaine d'essai, la IS 250 s'est avérée ultra divertissante, économique et luxueuse. Sensations fortes garanties.
Tout comme l'extérieur, l'intérieur transpire le luxe et la sportivité. On retrouve des sièges en cuir à multiples réglages électriques ainsi qu'une console centrale garnie de bois qui s'harmonise doucement à un haut bloc central. Les accents métalliques ajoutent un côté branché, notamment sur le levier de vitesses qui occupe une place centrale. Les instruments sont superbes, à l'instar des commandes, des matériaux et de la qualité d'assemblage. Un sentiment de fierté émane de chaque centimètre de l'habitacle de la IS 250.
L'entrée et la sortie se font plutôt facilement, bien que l'habitacle soit un tantinet trop compact. L'espace pour la tête n'est que passable, tandis que la banquette arrière devrait être laissée aux enfants. À l'avant, on a davantage la sensation d'être assis dans un coupé, ce qui est génial pour des personnes plus petites mais pas pour des grands individus comme moi.
En outre, le rangement à portée de main est limité et aucun des deux porte-gobelets ne permet de tenir un verre de café sans qu'on l'accroche en changeant les vitesses. Heureusement, la beauté et le style compensent pour ces lacunes... à moins d'être démesurément plus grand que la moyenne. Presque toutes les voitures offrent des sièges en cuir à réglages électriques et un lecteur CD (de série ou en option). Ce sont donc les accessoires moins communs qui permettent à certaines de se démarquer. La IS 250 est l'une d'elles.
N'oublions pas le système de surveillance de la pression des pneus, le mode «Neige» associé à l'accélérateur électronique qui permet d'obtenir plus d'adhérence ainsi que les sièges avant ventilés. La boite manuelle à six rapports est un compagnon idéal pour ce V6, quoique le maniement du levier arrive un peu en deçà des attentes. L'embrayage est léger et indulgent mais en même temps précis, ce qui démontre le bel équilibre de la IS.
Parlant d'équilibre, c'est celui entre la puissance et la performance environnementale qui m'impressionne le plus. La IS 250 est assez fougueuse pour faire grimper l'adrénaline de tous les conducteurs sauf les plus chevronnés et assez frugale pour être qualifiée d'économique. En effet, la consommation de 11 L/100 km en ville et de 8 L/100 km sur l'autoroute m'a agréablement surpris.
Autre avantage: la IS s'accompagne de plusieurs options indispensables à une berline de luxe. Premièrement, la traction intégrale est disponible -- tout comme chez BMW et Audi. Ensuite, il y a un V6 plus puissant de 3,5 litres qui génère 306 chevaux, ce qui devrait satisfaire les mordus du volant. Si ce n'est pas le cas, eh bien, Lexus n'est pas en reste. À l'instar de BMW avec sa M3 et d'Audi avec sa S4/RS4, le fabricant japonais proposera bientôt une version haute performance: la IS-F au V8 de plus de 400 chevaux.
De plus, le système antidérapage électronique ne peut être désactivé complètement. Ce n'est pas tout: quand la voiture glisse, le système applique vivement les freins et émet un signal sonore qui devient vite agaçant.
Pour ce qui est de la beauté du design, de l'étoffe intérieure et de l'agrément de conduite, la IS 250 livre assurément la marchandise. Elle joue dans la même cour que les grands, mais elle n'a pas à se préoccuper de rendre hommage à ses ancêtres, ce qui fait que son design est un peu plus branché et particulier. Tout au long de ma semaine d'essai, la IS 250 s'est avérée ultra divertissante, économique et luxueuse. Sensations fortes garanties.
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