Acura RL Elite 2007
Acura RL Elite 2007 - L'emblème «SH-AWD» qui orne la voiture réfère au «système toutes roues motrices super-maniabibilité» d'Acura. Incroyable la différence d'adhérence entre la RL et la plus petite TL! Je suis pourtant un très grand partisan de cette dernière, mais son mode d'entraînement à traction avant semble surchargé. La traction aux quatre roues de la RL est exactement ce dont la TL aurait besoin... sans une hausse de prix substantielle, bien sûr.
Comment la compagnie arrive-t-elle à offrir cette «super-maniabilité»? Eh bien, le système répartit le couple non seulement entre les roues avant et arrière, mais aussi entre les roues arrière gauche et droite. Dans une courbe, par exemple, c'est la roue arrière extérieure qui travaille le plus. Ce dynamisme aide la voiture à attaquer agressivement les virages plutôt que de subir les forces de ceux-ci. Est-ce que ça fonctionne réellement? En théorie, oui; en pratique; l'effet est souvent imperceptible.
Le V6 de 3,5 litres qui fait tourner les roues de 17 pouces de la RL est un moteur hautement raffiné. Grâce à sa configuration VTEC à 24 soupapes et DACT, il développe en douceur 290 chevaux à 6200 tr/min et 256 lb-pi de couple à 5000 tr/min. Bien que ce moteur n'ait pas encore atteint le chiffre magique des 300 chevaux, sa consommation d'essence est digne des plus frugaux V6 (12,9 L/100 km en ville et 8,4 L/100 km sur l'autoroute).
Dans l'ensemble, la RL présente un style attrayant quoique relativement sobre. Sa motorisation est beaucoup plus inspirante et bien calibrée. Idem pour la direction. Cette berline porte-étendard représente l'équilibre idéal entre confort de roulement et maniabilité, du moins selon mes goûts personnels. Le confort de l'habitacle est remarquable; cependant, la panoplie de gadgets et de boutons complexes s'avère plus ou moins conviviale et intuitive. En outre, le bruit provenant des pneus était supérieur à mes attentes. Qu'à cela ne tienne, la RL peut facilement tenir tête aux Européennes plus dispendieuses et aux Japonaises à prix semblable. Si vous recherchez une berline de luxe, celle-ci ne devrait pas être négligée.
Comment la compagnie arrive-t-elle à offrir cette «super-maniabilité»? Eh bien, le système répartit le couple non seulement entre les roues avant et arrière, mais aussi entre les roues arrière gauche et droite. Dans une courbe, par exemple, c'est la roue arrière extérieure qui travaille le plus. Ce dynamisme aide la voiture à attaquer agressivement les virages plutôt que de subir les forces de ceux-ci. Est-ce que ça fonctionne réellement? En théorie, oui; en pratique; l'effet est souvent imperceptible.
Le V6 de 3,5 litres qui fait tourner les roues de 17 pouces de la RL est un moteur hautement raffiné. Grâce à sa configuration VTEC à 24 soupapes et DACT, il développe en douceur 290 chevaux à 6200 tr/min et 256 lb-pi de couple à 5000 tr/min. Bien que ce moteur n'ait pas encore atteint le chiffre magique des 300 chevaux, sa consommation d'essence est digne des plus frugaux V6 (12,9 L/100 km en ville et 8,4 L/100 km sur l'autoroute).
Dans l'ensemble, la RL présente un style attrayant quoique relativement sobre. Sa motorisation est beaucoup plus inspirante et bien calibrée. Idem pour la direction. Cette berline porte-étendard représente l'équilibre idéal entre confort de roulement et maniabilité, du moins selon mes goûts personnels. Le confort de l'habitacle est remarquable; cependant, la panoplie de gadgets et de boutons complexes s'avère plus ou moins conviviale et intuitive. En outre, le bruit provenant des pneus était supérieur à mes attentes. Qu'à cela ne tienne, la RL peut facilement tenir tête aux Européennes plus dispendieuses et aux Japonaises à prix semblable. Si vous recherchez une berline de luxe, celle-ci ne devrait pas être négligée.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire