Audi Q7 2007
Audi Q7 2007 - Mes coups de coeur « technologiques » pour le Q7 d'Audi sont nombreux. Il y a d'abord ce régulateur de vitesse intelligent--que dis-je, supra-intelligent. Non seulement s'ajuste-t-il à la vitesse des véhicules qui précèdent, mais il distingue le bouchon de circulation au loin--et freine alors le véhicule de lui-même, jusqu'à immobilisation complète. La file de voitures se remet en branle? Le régulateur fait de même, sans intervention aucune du conducteur.
Vous aurez compris que toute cette belle technologie n'a pas choisi de se marier, marketing oblige, à la variante de base du véhicule. Celle-ci affiche pourtant un prix d'étiquette de 55 000$ (la technologie accepte cependant d'embarquer à bord du Q7 3.6 Premium, qui demande 62 900 $).
C'est bien dommage, parce qu'en tant que tel, le Q7 équipé du V6 de 3,6 litres, pour 280 chevaux, est fort bien disposé sur la route. Certes, ses accélérations n'ont pas l'athlétisme du V8 (4,2L) de 350 chevaux, mais reste qu'à son bord, le 0-100 km demande huit très respectables secondes--à peine une seconde de plus que pour la « grosse » motorisation.
De fait, on aurait pu croire que les presque 2 500 kilos (5 500 lbs) du véhicule handicaperaient toute impression de dynamisme lorsque propulsés par le V6, mais ce n'est heureusement pas le cas. Le plus grand mérite revient à la belle disponibilité de la boîte séquentielle à six rapports--un bonheur de technologie, que cette transmission.
Une confidence : j'ai eu l'occasion de tester à plusieurs reprises le Q7 doté du moteur V8. À chaque fois, mon carnet de notes indiquait que l'utilitaire se révélait être le moins germanique des Audi. Sa conduite n'était pas aussi sportive qu'espéré et me laissait de glace--rien de déplaisant, mais rien de vraiment excitant non plus.
Une chose est sûre, si la variante de base du Q7 ne profite pas des équipements de haute technologie énumérés plus haut, son habitacle n'en laisse rien paraître. L'insonorisation est excellente, l'assemblage est de qualité et les passagers profitent d'un grand confort--un aller-retour Montréal-Québec s'effectue sans coup férir.
Cet ordinateur, qui contrôle à peu près toutes les fonctions du véhicule, n'est pas d'opération simple, même pour les plus ferrés. Ses commandes se laissent tâtonner au pied du levier de vitesse plutôt qu'au tableau de bord, là où se pose automatiquement le regard--un vrai prélude à la catastrophe. Heureusement, quelques-unes des fonctions, audio par exemple, montent au volant.
On nous dit aussi que pour l'année-modèle 2008, les versions offertes du Q7 seront simplifiées. Il faudra alors voir si la variante de base hérite de quelques options de haute technologie, ou si elle reste le parent pauvre de cette première offre utilitaire d'Audi.
Vous aurez compris que toute cette belle technologie n'a pas choisi de se marier, marketing oblige, à la variante de base du véhicule. Celle-ci affiche pourtant un prix d'étiquette de 55 000$ (la technologie accepte cependant d'embarquer à bord du Q7 3.6 Premium, qui demande 62 900 $).
C'est bien dommage, parce qu'en tant que tel, le Q7 équipé du V6 de 3,6 litres, pour 280 chevaux, est fort bien disposé sur la route. Certes, ses accélérations n'ont pas l'athlétisme du V8 (4,2L) de 350 chevaux, mais reste qu'à son bord, le 0-100 km demande huit très respectables secondes--à peine une seconde de plus que pour la « grosse » motorisation.
De fait, on aurait pu croire que les presque 2 500 kilos (5 500 lbs) du véhicule handicaperaient toute impression de dynamisme lorsque propulsés par le V6, mais ce n'est heureusement pas le cas. Le plus grand mérite revient à la belle disponibilité de la boîte séquentielle à six rapports--un bonheur de technologie, que cette transmission.
Une confidence : j'ai eu l'occasion de tester à plusieurs reprises le Q7 doté du moteur V8. À chaque fois, mon carnet de notes indiquait que l'utilitaire se révélait être le moins germanique des Audi. Sa conduite n'était pas aussi sportive qu'espéré et me laissait de glace--rien de déplaisant, mais rien de vraiment excitant non plus.
Une chose est sûre, si la variante de base du Q7 ne profite pas des équipements de haute technologie énumérés plus haut, son habitacle n'en laisse rien paraître. L'insonorisation est excellente, l'assemblage est de qualité et les passagers profitent d'un grand confort--un aller-retour Montréal-Québec s'effectue sans coup férir.
Cet ordinateur, qui contrôle à peu près toutes les fonctions du véhicule, n'est pas d'opération simple, même pour les plus ferrés. Ses commandes se laissent tâtonner au pied du levier de vitesse plutôt qu'au tableau de bord, là où se pose automatiquement le regard--un vrai prélude à la catastrophe. Heureusement, quelques-unes des fonctions, audio par exemple, montent au volant.
On nous dit aussi que pour l'année-modèle 2008, les versions offertes du Q7 seront simplifiées. Il faudra alors voir si la variante de base hérite de quelques options de haute technologie, ou si elle reste le parent pauvre de cette première offre utilitaire d'Audi.
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