Toyota Corolla 1.4 D-4D
Toyota Corolla 1.4 D-4D - Il nous arrive encore d’être bluffé. En allant chercher la Corolla 1.4 D-4D chez l’importateur, on s’attendait à une voiture sans surprise bien construite et bien pensée. Pourtant, dès les premiers tours de roue on a tout suite senti qu’il se passait quelque chose. Ce n’est pas au niveau de l’accélération qu’on a apprécié cette Toyota, mais pour sa générosité. En fait, la Corolla adopte un nouveau moteur dérivé du groupe motopropulseur Diesel de la Yaris.
Une fois lancée après un Tempo 100 réalisé en 13,3 s, la Japonaise n’a plus aucun mal à poursuivre sa route. Le couple étant disponible de 1800 à 3000 tr/min. Le secret de l’agrément moteur réside dans ses capacités de reprises. L’ensemble va de l’avant et s’autorise des parcours autoroutiers réellement agréables. Pourtant, la transmission manuelle se contente de 5 vitesses. Ce qui n’empêche pas le moteur de rester discret même à proximité de la vitesse maximale de 180 km/h. Cette discrétion est également remarquable à froid.
Les bruits et vibrations ont été réduits grâce à un pack NVH ultra-complet : couvre-moteur, couvre-culasse, couvre-bloc cylindres, couvre-carter d’huile et isolant de turbo sont autant d’éléments qui ont été améliorés. Le bloc a reçu un turbocompresseur à géométrie variable. À faible régime, les aubes du turbocompresseur se ferment pour augmenter la pression d’admission, tandis qu’à régime élevé, elles s’ouvrent pour contribuer à réduire la contre-pression des gaz d’échappement. Les performances sont aussi liées aux injecteurs à 6 trous, aux pistons renforcés et aux chambres de combustion redessinées.
Comme on vous l’a dit plus haut, un bon moteur Diesel doit aussi être sobre. C’est le cas de ce 1.4 D-4D. Cette nouvelle motorisation ne pèse que 108 kg, ce qui permet déjà de gagner quelques kilos sur la balance et donc quelques centilitres de consommation. Ceci dit, on doit essentiellement sa sobriété à la conception du moteur à rampe commune. Ainsi, la consommation s’établit à 4,8 litres/100 km en cycle européen combiné, de quoi faire des étapes de 1000 km. Pour les émissions de CO2, la Corolla 1.4 D-4D en diffuse 127 g/km. En fait, le refroidisseur hautes performances du système de recirculation des gaz d’échappement (EGR) dispose à présent d’un catalyseur.
Voilà pourquoi nous pouvons affirmer que ce moteur se hisse sur le podium des meilleurs blocs Diesel à nos yeux. Évidemment, cette voiture ne se limite pas à un moteur. Il y a déjà l’excellente boîte manuelle à 5 rapports qui complète parfaitement le groupe motopropulseur. Ceci dit, cette version peut également être dotée d’une boîte manuelle robotisée M-MT (Multi-mode Manual Transmission). Il s’agit d’une nouvelle transmission manuelle entraînée directement par des moteurs électriques.
La berline compacte a, paraît-il, subi un relifting. Personnellement on n’a rien remarqué. On a bien au mal à différencier la Corolla 9e génération d’avant et d’après le passage au scalpel. Pourtant, Toyota indique que le bouclier avant a été revu et que le volant est redessiné. Par contre, il est vrai qu’on a apprécié l’apparition du réglage en profondeur de la colonne de direction. Il faut dire que la plupart des améliorations portent sur la mécanique et les systèmes de sécurité. Des composants souvent invisibles mais très utiles au cas où… Le décor est tout aussi sobre que la consommation. Pareil pour l’ergonomie simplement efficace. Ce classicisme explique peut-être le succès du modèle. Il est vrai qu’on y retrouve vite ses repères et que la Corolla a le don de rester discrète dans la circulation.
Une fois lancée après un Tempo 100 réalisé en 13,3 s, la Japonaise n’a plus aucun mal à poursuivre sa route. Le couple étant disponible de 1800 à 3000 tr/min. Le secret de l’agrément moteur réside dans ses capacités de reprises. L’ensemble va de l’avant et s’autorise des parcours autoroutiers réellement agréables. Pourtant, la transmission manuelle se contente de 5 vitesses. Ce qui n’empêche pas le moteur de rester discret même à proximité de la vitesse maximale de 180 km/h. Cette discrétion est également remarquable à froid.
Les bruits et vibrations ont été réduits grâce à un pack NVH ultra-complet : couvre-moteur, couvre-culasse, couvre-bloc cylindres, couvre-carter d’huile et isolant de turbo sont autant d’éléments qui ont été améliorés. Le bloc a reçu un turbocompresseur à géométrie variable. À faible régime, les aubes du turbocompresseur se ferment pour augmenter la pression d’admission, tandis qu’à régime élevé, elles s’ouvrent pour contribuer à réduire la contre-pression des gaz d’échappement. Les performances sont aussi liées aux injecteurs à 6 trous, aux pistons renforcés et aux chambres de combustion redessinées.
Comme on vous l’a dit plus haut, un bon moteur Diesel doit aussi être sobre. C’est le cas de ce 1.4 D-4D. Cette nouvelle motorisation ne pèse que 108 kg, ce qui permet déjà de gagner quelques kilos sur la balance et donc quelques centilitres de consommation. Ceci dit, on doit essentiellement sa sobriété à la conception du moteur à rampe commune. Ainsi, la consommation s’établit à 4,8 litres/100 km en cycle européen combiné, de quoi faire des étapes de 1000 km. Pour les émissions de CO2, la Corolla 1.4 D-4D en diffuse 127 g/km. En fait, le refroidisseur hautes performances du système de recirculation des gaz d’échappement (EGR) dispose à présent d’un catalyseur.
Voilà pourquoi nous pouvons affirmer que ce moteur se hisse sur le podium des meilleurs blocs Diesel à nos yeux. Évidemment, cette voiture ne se limite pas à un moteur. Il y a déjà l’excellente boîte manuelle à 5 rapports qui complète parfaitement le groupe motopropulseur. Ceci dit, cette version peut également être dotée d’une boîte manuelle robotisée M-MT (Multi-mode Manual Transmission). Il s’agit d’une nouvelle transmission manuelle entraînée directement par des moteurs électriques.
La berline compacte a, paraît-il, subi un relifting. Personnellement on n’a rien remarqué. On a bien au mal à différencier la Corolla 9e génération d’avant et d’après le passage au scalpel. Pourtant, Toyota indique que le bouclier avant a été revu et que le volant est redessiné. Par contre, il est vrai qu’on a apprécié l’apparition du réglage en profondeur de la colonne de direction. Il faut dire que la plupart des améliorations portent sur la mécanique et les systèmes de sécurité. Des composants souvent invisibles mais très utiles au cas où… Le décor est tout aussi sobre que la consommation. Pareil pour l’ergonomie simplement efficace. Ce classicisme explique peut-être le succès du modèle. Il est vrai qu’on y retrouve vite ses repères et que la Corolla a le don de rester discrète dans la circulation.
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