Une période faste pour les fraudeurs
En ce temps des impôts, au cours du quel les gens sont plus que jamais susceptibles de mettre à la récupération des documents sur lesquels une foule de renseignements personnels sont inscrits, la Sûreté du Québec rappelle de prendre garde aux fraudeurs de tout acabit et aux voleurs d'identité.
Tout crime confondu, la fraude est l'acte criminel qui connaît la plus forte croissance, explique le sergent Jean-Michel Néron, de l'escouade des crimes économiques à la Sûreté du Québec. «Et souvent, les dégâts sont faits lorsqu'on s'aperçoit qu'on a été victimes d'une fraude. Les comptes arrivent et on voit tout de suite que quelque chose ne va pas.»
Qui plus est, les fraudeurs sont de plus en plus rusés et possèdent de plus en plus de moyens de parvenir à leurs fins.
«Quand on enquête sur des cas d'hameçonnage et qu'on se rend compte que le fraudeur est logé sur un serveur Internet situé en Russie et transite par un pays d'Amérique latine avant d'aboutir dans votre écran d'ordinateur, pas besoin de vous dire qu'il est difficile à attraper», convient le sergent Néron.
«Les fraudeurs sont assez rusés et inventifs, pas besoin de leur faciliter la vie», dit-il.
À cet égard, le sergent Néron estime que le tiers des gens commettent des imprudences dans leur vie quotidienne.
«Tous les documents contenant des renseignements personnels autres que le nom et l'adresse devraient être déchiquetés avant d'être mis à la récupération ou même à la poubelle. Pas déchiré en deux, déchiqueté en mille morceaux. Vos vieux relevés de carte de crédit, vos vieux relevés bancaires, vos vieux rapports d'impôt et tout autres documents devraient aussi passer par la déchiqueteuse», conseille le sergent Néron.
La police rappelle également de ne jamais divulguer de renseignements personnels par téléphone, même si la personne au bout du fil vous paraît crédible et qu'elle soutient dur comme fer représenter votre institution bancaire. Idem pour Internet.
Si vous êtes victime d'une fraude, la police suggère bien entendu de contacter rapidement votre institution bancaire ou votre compagnie de carte de crédit, mais aussi de porter plainte à votre service de police local. Ceux qui font la chasse aux fraudeurs vous suggèrent aussi de demander une fois l'an votre dossier de crédit auprès de compagnies spécialisées en la matière comme Équifax et de faire corriger les erreurs sans délais.
Tout crime confondu, la fraude est l'acte criminel qui connaît la plus forte croissance, explique le sergent Jean-Michel Néron, de l'escouade des crimes économiques à la Sûreté du Québec. «Et souvent, les dégâts sont faits lorsqu'on s'aperçoit qu'on a été victimes d'une fraude. Les comptes arrivent et on voit tout de suite que quelque chose ne va pas.»
Qui plus est, les fraudeurs sont de plus en plus rusés et possèdent de plus en plus de moyens de parvenir à leurs fins.
«Quand on enquête sur des cas d'hameçonnage et qu'on se rend compte que le fraudeur est logé sur un serveur Internet situé en Russie et transite par un pays d'Amérique latine avant d'aboutir dans votre écran d'ordinateur, pas besoin de vous dire qu'il est difficile à attraper», convient le sergent Néron.
«Les fraudeurs sont assez rusés et inventifs, pas besoin de leur faciliter la vie», dit-il.
À cet égard, le sergent Néron estime que le tiers des gens commettent des imprudences dans leur vie quotidienne.
«Tous les documents contenant des renseignements personnels autres que le nom et l'adresse devraient être déchiquetés avant d'être mis à la récupération ou même à la poubelle. Pas déchiré en deux, déchiqueté en mille morceaux. Vos vieux relevés de carte de crédit, vos vieux relevés bancaires, vos vieux rapports d'impôt et tout autres documents devraient aussi passer par la déchiqueteuse», conseille le sergent Néron.
La police rappelle également de ne jamais divulguer de renseignements personnels par téléphone, même si la personne au bout du fil vous paraît crédible et qu'elle soutient dur comme fer représenter votre institution bancaire. Idem pour Internet.
Si vous êtes victime d'une fraude, la police suggère bien entendu de contacter rapidement votre institution bancaire ou votre compagnie de carte de crédit, mais aussi de porter plainte à votre service de police local. Ceux qui font la chasse aux fraudeurs vous suggèrent aussi de demander une fois l'an votre dossier de crédit auprès de compagnies spécialisées en la matière comme Équifax et de faire corriger les erreurs sans délais.
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