Ecclestone exige cinq «chèques visés» de 2,25 millions

En vertu des conventions fiscales entre la Grande-Bretagne et le Canada, le fisc prélève l'impôt des entreprises étrangères à la source et le leur rend lorsqu'il a l'assurance qu'elles l'ont payé dans l'autre pays.
Or, selon des sources sûres, le grand manitou de la F1 demande aux gouvernements fédéral et québécois de lui fournir par écrit l'assurance qu'ils ne prélèveront pas d'impôt à la source sur l'argent qu'il obtient au Canada.
«La compagnie de M. Ecclestone est-elle enregistrée dans un paradis fiscal? Si on accepte ce qu'il demande, nous n'aurons aucun moyen de vérifier qu'il paiera de l'impôt. Ce qu'il veut est un privilège», explique une source gouvernementale bien au fait du dossier Ecclestone.
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