Lexus IS 250 AWD 2008
Lexus IS 250 AWD 2008 - La faible hauteur de la voiture complique les entrées et les sorties. Je déteste camper sur le plancher d’une voiture pour conduire. La solution ? Remonter le coussin de mon siège. Le problème ? Une tête qui frise le plafond. Ce n’est pas particulièrement agréable d’avoir les yeux rivés sur la partie supérieure du pare-brise. Assis trop bas, les yeux arrivent à la hauteur de la planche de bord. Le dégagement pour les jambes est bon mais celui pour la tête des grands 6 pieds est juste, surtout lorsque la voiture est munie du toit ouvrant.
Du reste, la position de conduite est excellente. La prise en main du volant, de parfaite dimension, dégage une belle impression de solidité, alors que le levier des vitesses tombe sous la main. L’éclairage électroluminescent facilite la lecture des instruments, de jour comme de nuit. Les commandes sont, pour la plupart, bien disposées. Les boutons pour activer mode « Hiver » et désactiver l’antipatinage, ou encore ceux pour faire fonctionner les lave-phares ou le pare-soleil électrique, sont par contre cachés par le volant. Certains boutons de la chaîne audio sont placés trop bas, et ils interfèrent avec le levier des vitesses. Les espaces de rangement sont comptés, en nombre et en contenance.
L’habitacle est par ailleurs bien insonorisé, sauf peut-être lorsqu’il s’agit de filtrer les bruits de roulement. Force est d’admettre que, si nous conduisions sur de beaux pavés, nous n’entendrions presque rien.
À l’arrière, le dégagement convient pour des personnes de taille moyenne et moins. Avec un peu de chance, et des passagers avant de taille moyenne, une personne de grande taille aura suffisamment d’espace pour les jambes. Celui pour la tête sera en contrepartie insuffisant. L’étroitesse de l’ouverture des portes et l’importante protubérance causée par les cages de roues compliquent les entrées, mais surtout les sorties.
La banquette est néanmoins confortable pour deux personnes, et elle fournit un bon soutien latéral. Le tunnel de transmission rend inconfortable – lire inutile – la place centrale, tandis que l’étroitesse de la place centrale rend impossible l’installation d’un siège d’auto pour enfant. Le coffre est de capacité honnête dans cette catégorie. L’ouverture est large. La banquette n’est malheureusement pas inclinable, mais elle ne dispose que d’un passe-skis.
Du reste, il fonctionne avec une grande douceur, tout comme la boîte automatique à six rapports, la seule offerte avec la transmission intégrale. Le mode « Sport », qui permet de n’utiliser que quatre rapports, est intéressant pour la conduite urbaine et donne plus de oumph à la voiture. J’ai obtenu une consommation de carburant moyenne d’environ 12 L/100 km. Lexus demande de l’abreuver en supercarburant.
La direction est stable, précise et rapide. Comme elle est électrique, elle limite, pour ne pas dire dilue, toutes sensations de la route. La voiture dégage malgré tout une belle impression de solidité, d’autant plus qu’elle est dotée de la transmission intégrale. Le court diamètre de braquage facilite les manœuvres de stationnement. Volvo devrait s’en inspirer ! Le réglage de la suspension est ferme, ce qui lui permet de s’accrocher dans les virages avec aplomb. Certaines inégalités provoquent des réactions un peu fermes, sans plus. Le confort n’est, la plupart du temps, jamais perturbé. Les freins, de leur côté, ne manquent pas de mordant.
L’IS250 AWD entraîne-t-elle une dépendance à la conduite ? Je ne crois pas. Mais elle plaira à ceux qui privilégie la tranquillité d’esprit et une conduite coulée, à mi-chemin entre la sportivité et le confort. Un peu trop parfaite ? Peut-être. Un peu trop aseptisée ? Peut-être. Mais une excellente petite berline sport. J’hésiterais peut-être un peu devant une Infiniti G35x qui, équipée de façon comparable, coûte environ le même prix.
Du reste, la position de conduite est excellente. La prise en main du volant, de parfaite dimension, dégage une belle impression de solidité, alors que le levier des vitesses tombe sous la main. L’éclairage électroluminescent facilite la lecture des instruments, de jour comme de nuit. Les commandes sont, pour la plupart, bien disposées. Les boutons pour activer mode « Hiver » et désactiver l’antipatinage, ou encore ceux pour faire fonctionner les lave-phares ou le pare-soleil électrique, sont par contre cachés par le volant. Certains boutons de la chaîne audio sont placés trop bas, et ils interfèrent avec le levier des vitesses. Les espaces de rangement sont comptés, en nombre et en contenance.
L’habitacle est par ailleurs bien insonorisé, sauf peut-être lorsqu’il s’agit de filtrer les bruits de roulement. Force est d’admettre que, si nous conduisions sur de beaux pavés, nous n’entendrions presque rien.
À l’arrière, le dégagement convient pour des personnes de taille moyenne et moins. Avec un peu de chance, et des passagers avant de taille moyenne, une personne de grande taille aura suffisamment d’espace pour les jambes. Celui pour la tête sera en contrepartie insuffisant. L’étroitesse de l’ouverture des portes et l’importante protubérance causée par les cages de roues compliquent les entrées, mais surtout les sorties.
La banquette est néanmoins confortable pour deux personnes, et elle fournit un bon soutien latéral. Le tunnel de transmission rend inconfortable – lire inutile – la place centrale, tandis que l’étroitesse de la place centrale rend impossible l’installation d’un siège d’auto pour enfant. Le coffre est de capacité honnête dans cette catégorie. L’ouverture est large. La banquette n’est malheureusement pas inclinable, mais elle ne dispose que d’un passe-skis.
Du reste, il fonctionne avec une grande douceur, tout comme la boîte automatique à six rapports, la seule offerte avec la transmission intégrale. Le mode « Sport », qui permet de n’utiliser que quatre rapports, est intéressant pour la conduite urbaine et donne plus de oumph à la voiture. J’ai obtenu une consommation de carburant moyenne d’environ 12 L/100 km. Lexus demande de l’abreuver en supercarburant.
La direction est stable, précise et rapide. Comme elle est électrique, elle limite, pour ne pas dire dilue, toutes sensations de la route. La voiture dégage malgré tout une belle impression de solidité, d’autant plus qu’elle est dotée de la transmission intégrale. Le court diamètre de braquage facilite les manœuvres de stationnement. Volvo devrait s’en inspirer ! Le réglage de la suspension est ferme, ce qui lui permet de s’accrocher dans les virages avec aplomb. Certaines inégalités provoquent des réactions un peu fermes, sans plus. Le confort n’est, la plupart du temps, jamais perturbé. Les freins, de leur côté, ne manquent pas de mordant.
L’IS250 AWD entraîne-t-elle une dépendance à la conduite ? Je ne crois pas. Mais elle plaira à ceux qui privilégie la tranquillité d’esprit et une conduite coulée, à mi-chemin entre la sportivité et le confort. Un peu trop parfaite ? Peut-être. Un peu trop aseptisée ? Peut-être. Mais une excellente petite berline sport. J’hésiterais peut-être un peu devant une Infiniti G35x qui, équipée de façon comparable, coûte environ le même prix.
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